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Genderofolie dans une haute couture dégénérée

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Récemment c’est la maison italienne Gucci qui fait dans la genderofolie à outrance. Désormais au centre de la scène des défilés de modes depuis quelques années, les choix stylistiques d’Alessandro Michele, le directeur artistique (sic) de Gucci, s’inscrivent résolument dans une propagande lgbtqi++++.

Dernièrement il a lancé une robe rappelant les vêtements de poupées pour homme : jupe, nœud en satin à la taille, boutons en nacre, en tartan orange, avec un col rond. Sur le site, la robe est décrite comme « reflétant l’idée d’une fluidité de genre sans les stéréotypes toxiques qui façonnent l’identité du genre masculin ».

Quant à l’identité de genre de la haute couture, sans ambiguïté c’est d’être… dégénérée !

Francesca de Villasmundo

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