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Genderofolie : la mode épouse l’idéologie transgenre

De transgressions en perversions, la mode contemporaine épouse aujourd’hui l’idéologie transgenre promue par les organisations ultra-progressistes et transhumanistes du monde entier.

Les cas de mannequins transgenres embauchés par des maisons de haute couture se font nombreux.

Récemment c’est Chanel qui a engagé sa nouvelle égérie maquillage dans la communauté des transsexuels, l’américain Teddy Quinlivan, 25 ans, né garçon, mais « transformé » en fille.

Avant lui, il y eu Lea T. qui a posé pour Panten, Indya Moore qui sera à l’affiche du prochain calendrier Pirelli. Sans oublier le transsexuel brésilien Valentina Sampaio né homme mais « devenu » femme et choisi pour représenter la marque Victoria’s secret. Ce fut le premier mannequin trans à faire la Une du numéro de mars de Vogue Paris.

Et d’autres noms pourraient être ajouter à la liste de cette genderofolie qui anime le monde de la mode, décidément volontaire pour épouser l’idéologie du gender fluid et du politiquement correct contre la naturelle et biologique identité de l’homme et de la femme et de la famille traditionnelle.

La mode se fait toujours plus asexuée, gomme pas à pas les différences entre féminité et masculinité. Et gare à qui s’oppose à ce processus « irréversible » selon les apprentis-sorciers de l’humanité post-moderne… La police de la pensée veille au grain, tout le monde doit être dans le rang derrière les Lgbt…

Francesca de Villasmundo

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