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GB – Massacre à Huntingdon occultation de l’origine des meurtriers

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Anthony Williams, l’auteur de l’attaque au couteau dans le train de Huntingdon, 1er novembre 2025

Au Royaume-Uni, 11 personnes ont été poignardées dans un train : « Les scènes étaient horribles ». Mais la police a écarté la piste terroriste. Tout comme le gouvernement et les médias au collier l’origine des assaillants.

1er novembre 2025 : un « homme noir de 32 ans de nationalité Britannique » et un « descendant de Caribéens de 35 ans », ont poignardé les passagers d’un train

Jour noir que ce jour de la Toussaint 2025 au Royaume-Uni : deux hommes, un « homme noir de 32 ans de nationalité Britannique » et un « descendant de Caribéens de 35 ans », armés de grands couteaux, ont semé la terreur, poignardé et essayé d’égorger les passagers d’un train régional en direction de Huntingdon, dans le Cambridgeshire. L’attaque a duré 14 minutes.

Onze personnes ont été blessées, neuf sont dans un état grave, sept sont stabilisées et deux luttent toujours pour leur vie ; certaines seraient des membres du personnel de bord. Le massacre aurait pu être plus grave mais deux Britanniques ont eu un comportement de héros.

Un passager, Stephen Crean, supporter de Nottingham Forest, a tenté d’arrêter de ses seuls poings Anthony Williams, l’agresseur présumé. « Tu veux mourir ? » lui a assené ce dernier tout en le poignardant à six reprises.

Andrew Johnson, le conducteur de train, grâce à son sang-froid a sauvé la vie d’autres passagers. Il a changé l’itinéraire de son trajet dès qu’il a été informé de l’attaque à bord. Il s’est ensuite arrêté à la gare de Huntingdon qu’il ne devait, au départ, que traverser, ce qui a vraisemblablement permis une intervention rapide de la police. Il a auparavant servi dans la Royal Navy pendant 17 ans et a été déployé en Irak pendant la seconde guerre du Golfe. Une fois de plus, ce sont des hommes blancs hétérosexuels qui sauvent la situation !

Des scènes « terrifiantes », « on se serait cru dans un film d’horreur »

Deux personnes ont été arrêtées à la suite de ce que Kevin Hollinrake, député britannique, a qualifié de scènes « terrifiantes ». La police britannique a confirmé que les agents intervenus dans le train où les onze personnes ont été poignardées ont utilisé le code « Plato », le nom de code national employé par les forces de l’ordre et les services d’urgence lors d’une intervention pour « attaque terroriste ». Cette déclaration a été ultérieurement rétractée, et la police a qualifié l’incident d’« incident majeur ».

Le lendemain dimanche 2 novembre, la police a nié tout lien avec le terrorisme, précisant que les deux hommes arrêtés, toujours en garde à vue, sont nés au Royaume-Uni : l’un est un Britannique noir de 32 ans, l’autre un homme de 35 ans d’origine caribéenne. « À ce stade, il serait prématuré de spéculer sur les causes de l’incident », a déclaré John Loveless, commissaire de la police des transports britannique.

« Il y avait du sang partout, c’était une scène terrible, d’une violence inouïe. On se serait cru dans un film d’horreur », ont déclaré certains témoins au Sun. « C’était irréel : la panique s’est emparée de tout le monde à bord », ont ajouté d’autres. Sky News rapporte que le service d’ambulances de l’Est de l’Angleterre a annoncé avoir déployé un important dispositif.

La police, le gouvernement et les médias au collier ont tout fait pour cacher l’origine ethnique des meurtriers

La police a manqué trois occasions distinctes d’empêcher Anthony Williams, l’auteur de l’attaque au couteau dans le train de Huntingdon, de commettre son acte. En effet, un garçon de 14 ans a été poignardé à Peterborough vendredi par Anthony, qui a ensuite été aperçu dans un salon de coiffure, un couteau à la main. La police du Cambridgeshire n’a lancé aucun appel à témoins ni avertissement le concernant. Aux premières heures du 1er novembre, un homme a été poignardé à la station Pontoon Dock du DLR, dans l’est de Londres. Encore une fois, la police métropolitaine et la police des transports n’ont diffusé ni les images de vidéosurveillance ni lancé d’appel à témoins concernant Anthony Williams. Ces manquements successifs de la part de trois forces de police différentes témoignent de la volonté politique du gouvernement britannique de minimiser, occulter, l’insécurité croissante que connait le pays en raison de l’idéologie du « vivre-ensemble » qui vire au cauchemar.

Mais aussi, au-delà du choc face à une telle scène d’horreur, de nombreux Britanniques sont scandalisés par le traitement de ce massacre de masse par les médias au collier et le gouvernement du socialiste Keir Starmer.

Tout a été fait pour cacher l’origine ethnique des meurtriers. Les policiers et les ministres au pouvoir, relayés par des journalistes complaisants, ceux de la BBC en tête, ont insisté à plusieurs reprises, pour dire et redire que c’étaient des Britanniques en omettant totalement de signaler leurs origines. Ils ont insisté également sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un acte terroriste. Mais soyons honnêtes : prendre d’assaut un train et poignarder des innocents, c’est être un terroriste. Point final.

Des centaines de patriotes britanniques ont défilé dans les rues d’Epping le soir du 1er novembre pour exiger la fin de l’immigration clandestine, avec des slogans tels que « Sauvez la nation ! Expulsion ! ».

Francesca de Villasmundo

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