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Homosexualité et pulsions mortelles

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Tout à fait étonnante est l’irresponsabilité de tous ceux – politiques ou non- qui encouragent le gender et l’homosexualité. Pas un instant ils ne semblent réaliser les conséquences de cette promotion. En réalité nous sommes dans le domaine de l’idéologie qui n’a que faire des « dommages collatéraux ». On n’a pas fini de répertorier les terribles conséquences de ces mœurs contre-nature. Elles nous tombent au hasard des lectures de la presse médicale. Triste litanie…Voici notre quête du mois.

Sida

Le Netherlands Journal of Médecine vient de publier une étude de l’Université d’Amsterdam établissant que les porteurs du virus HIV (sida) ont 80 fois plus de risques de faire un cancer de l’anus que le reste de la population. Ceci confirme l’étude présentée par la célèbre revue médicale américaine The Lancet de décembre 2012. Cette dernière rend compte du fait qu’en Amérique les deux tiers des nouvelles contagions par le sida sont en rapport avec les pratiques homosexuelles. En France un nouveau cas de sida sur deux est lié aux homosexuels mâles, alors que la population gay ne représente au plus que 3 % de la population.

Nous voyons ressurgir des maladies qui étaient disparues depuis longtemps comme la lymphogranulomatose vénérienne qui donne des suppurations chroniques du rectum vers la peau appelées fistules.

Syphilis

Au Canada, le Vancouver Sun du 18 novembre rend compte d’une étude du Vancouver Coastal Health et du British Columbia Centre for Disease Control (Centre de contrôle des maladies infectieuses de la Colombie britannique) qui distribue des préservatifs pour contrer l’incroyable progression de la syphilis. Cette maladie presque muette dans ses débuts, si elle n’est pas soignée évolue vers des destructions progressives de tous les tissus de l’organisme (os, articulations, système nerveux, peau, yeux et oreilles). L’an dernier ont été découverts 371 cas nouveaux soit une progression de 80 % en une année. Or en 1990 seulement trois cas ont été diagnostiqués chez des prostituées de sexe féminin. L’officier de santé Dr. Réka Gustafson chargé de gérer cette situation explique que sa campagne de prévention est tournée exclusivement vers la communauté homosexuelle masculine. Il n’hésite pas à attribuer la propagation de l’épidémie au lobbying gay. Les organismes cités plus haut mettent aussi en garde sur le fait que toute contagion par la syphilis augmente le risque de contagion par le sida. En effet 60% des porteurs de la syphilis sont HIV positifs.

La situation est-elle meilleure en France. En 1968-1969, j’ai eu l’honneur de travailler avec le Pr Delsant à l’Hôpital Saint Louis de Paris, centre mondial des maladies de la peau. Il était le dernier syphiligraphe de France car la maladie était pratiquement disparue. Or depuis 2002, onze centres de dépistage de la syphilis ont été organisés dans les principaux centres hospitaliers de Paris chargés de dépister le sida. Dans l’enquête effectuée à l’époque neuf cas sur dix concernaient les homosexuels mâles.

Les pulsions et pratiques homosexuelles apparaissent ainsi comme dangereuses voire mortelles. M. Bergé est décidément un bien mauvais berger.

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