Un « conte de fées pour grandes personnes ».
L’un des plus grands chimistes organiciens au monde explique pourquoi la théorie de l’évolution n’est pas étayée, contrairement au consensus supposé de la communauté scientifique.
Lifesitenews.com nous propose un très intéressant article sur la théorie de l’évolution si chère aux darwinistes de tous poils.
Voici quelques extraits tirés de l’entretien que James Tour a donné à Tucker Carlson le 22 décembre 2025 :
James Tour, né dans une famille juive laïque et converti au christianisme, a mené une brillante carrière de chercheur en chimie et en nanotechnologies et a été maintes fois reconnu comme l’un des scientifiques les plus influents au monde. Il a souligné que la plupart des critiques publics de l’évolution ne possèdent pas ses connaissances en biochimie, ce qui lui permet de critiquer la théorie de l’évolution à la source même de celle-ci.
Un exemple de changement d’organisation corporelle serait la transformation d’un invertébré, un organisme dépourvu de colonne vertébrale, en un organisme vertébré, a expliqué Tour. « Cela n’arrive jamais. » Pour qu’un changement d’organisation corporelle survienne, il faut nécessairement des modifications des réseaux génétiques, a-t-il précisé.
L’une des plus grandes lacunes de la théorie de l’évolution qu’il a soulignées est le fait que, bien que l’on « désigne les fossiles d’une créature comme précurseur d’une autre créature », on ne trouve jamais de fossiles des organismes intermédiaires « transformatifs ».
« Mais cela ne remet-il pas en cause la théorie du tout ? Car si l’évolution était réelle, on observerait une progression graduelle à partir d’une seule cellule », lui a demandé Tucker Carlson.
Tour a affirmé qu’aucune évolution progressive de ce type n’a été observée. Il avait également souligné auparavant qu’aucune explication biochimique satisfaisante de l’évolution n’avait été présentée. En réalité, l’être humain n’a même pas été capable de créer, à partir d’une racine prébiotique, aucun des quatre constituants polymères de la vie : les lipides, les protéines, les glucides et les acides nucléiques. Autrement dit, personne n’a été capable d’assembler ces molécules en utilisant les « produits chimiques et les techniques qui auraient été disponibles sur Terre avant l’apparition de la vie ».
« Nous ne savons même pas comment fabriquer les éléments constitutifs de base qui nous constituent ».
[…]
« Si la macroévolution n’explique pas ce que nous observons, alors il doit y avoir un Créateur. Cela renvoie à Dieu. […]».
Merci à Lifesitenews.com pour cet apport qui ose affronter une « théorie » devenue vérité absolue sous peine de condamnation de la bien-pensance dominante.
Comme le rappelait, le 1er septembre 2009 dans Fideliter n° 192, l’abbé Régis de Cacqueray [aujourd’hui Rd Père Joseph d’Avallon, ofm] « un catholique digne de ce nom doit se tourner vers le Magistère de l’Église avant de poser tout jugement. »
Ce fameux darwinisme, enseigné comme un dogme intangible dans toutes les écoles, représente un « conte de fées pour grandes personnes ».
« Si donc nous devons tenir, en ce qui concerne la possibilité proprement scientifique d’une évolution des espèces vivantes (dans le cadre d’une philosophie vraie et d’une théologie exacte), la position sage et nuancée du Magistère de l’Église, exprimée par Pie XII (1), nous devons rejeter sans ambages la vulgate évolutionniste actuelle, qui n’est vraie ni scientifiquement, ni philosophiquement, ni théologiquement. »
Fabien Laurent
(1) Encyclique Humani generis : « Le Magistère de l’Église n’interdit pas que la doctrine de « l’évolution » (…) soit l’objet, dans l’état actuel des sciences et de la théologie, de recherches et de débats entre savants de l’un et de l’autre parti ; il faut que les arguments soulevés à propos de chaque opinion, par ses partisans ou ses adversaires, soient pesés et appréciés avec le sérieux, la modération et la retenue qui s’impose ; mais que tous soient prêts à se soumettre au jugement de l’Église, qui a reçu du Christ le mandat d’interpréter authentiquement les saintes Écritures et de sauvegarder les dogmes de la foi. »
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