Alors que certains évêques trouvent tout à fait justifié d’organiser l’appel à la prière islamique dans leur cathédrale et y participent, comme Mgr Cador à Coutances, d’autres trouvent tout aussi justifiable d’interdire carrément leur cathédrale aux fidèles qui veulent y prier. C’est le cas dans le diocèse de Valence, où le gardien de la cathédrale, un laïc, a perturbé la prière des fidèles en train de dire le chapelet les 22 et 27 août dernier, et ce 28 août a carrément interdit l’accès aux fidèles, en arguant de l’assentiment du curé.
L’évêque conciliaire de Valence, Mgr Durand, injoignable, consent par son silence. La veille, le gardien tentait de perturber la prière du chapelet en affirmant que toute prière à la cathédrale de Valence était soumise à l’autorisation expresse du curé.
Ce qui évidemment est illégal et est un grave détournement de la loi – ce sont les activités profanes dans la cathédrale qui sont en théorie interdites par principe, et sinon soumises à autorisation et encadrement par le curé (voire le diocèse).
Curé qui doit aussi imposer un bureau de douane à l’Esprit Saint…
Curé dont les prières universelles tournent autour de l’accueil des migrants, de la paix dans le monde, de la fin des guerres – mais pas dans sa propre paroisse avec ses propres fidèles. Bel exemple de « communion » et d’unité, vraiment !
Reste à savoir, s’interroge Riposte Catholique, comment reconnaît-on les fidèles de Notre-Dame auquel l’accès à la cathédrale a été interdit par l’écriteau écrit par le gardien. Est-ce les seuls qui y viennent pour prier, ou le curé de la cathédrale de Valence a l’intention de leur imposer le port de la rouelle et de l’étoile jaune ?
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