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La crise du covid, porte d’entrée du transhumanisme dans nos vies ?

A qui profite la covid-19 ? Sans tomber dans un quelconque « complotisme », telle est la question qui revient dans nombre de conversations. C’est dire si ce petit virus qui semble mettre à genou les économies, les pays, la vie tout court, crée des interrogations, tant sur son origine, que son possible tripotage et la probable manipulation des mentalités qui s’en suit par la peur et la panique engendrées par la narrative institutionnelle, gouvernementale et médiatique.

Certains y répondent par quelques hypothèses qui méritent l’attention par leur adéquation avec le réel de la situation et leur prise en compte d’axes idéologiques dont l’existence est indéniable. Considérer cette « épidémie » qui mène les hommes de port du masque obligatoire en confinements/déconfinements aléatoires, couvre-feu péremptoires, de  la vaccination suggérée à l’obligation vaccinale prévisible, au traçage humain pour « sauver des vies » et, in fine, mais non des moindres, à la puce numérique pour mieux surveiller les populations et leur santé, comme la porte d’entrée du transhumanisme dans nos vies individuelles n’est pas si absurde. Et c’est un spécialiste de cette IA qui nous le dit, et l’énonce bien.

Philippe Guillemant, physicien, diplômé de l’École centrale de Paris et de l’Institut de physique du globe, docteur en physique et habilité à diriger des recherches,  où il est ingénieur de recherche hors classe au CNRS à Marseille, se penche sur cette hypothèse dans un texte publié sur son site Facebook :

« J’ai été l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de l’intelligence artificielle durant la première décennie 2000-2010 et j’ai été primé plusieurs fois pour ça, notamment par le CNRS (médaille de cristal) et par l’industrie de la vision artificielle (trophée international de la vision).

J’ai laissé tomber cette activité après cette première décennie pour les raisons que j’explique dans « Le pic de l’Esprit », pages 168 à 174. En résumé, j’ai été atteint par un malaise occasionné par le marché prédominant des technologies du contrôle après que l’on m’ait demandé entre autres : (1) d’identifier la cible visée par un fusil équipé d’une caméra (Thalès), (2) de remplacer automatiquement le décor d’un internaute filmé par une webcam par un faux décor (Logitech), (3) d’identifier des visages dans une foule, ou encore (4) de détecter des gestes brusques dans un bus, tout cela en temps réel, choses que j’ai réellement réalisées (1, 2) ou déclinées mais que j’aurais pu réaliser (3, 4).

Je vous dis cela pour que vous m’écoutiez maintenant sérieusement.

Si en tant qu’ingénieur on me demandait de développer des logiciels à partir de la mise à disposition de technologies permettant le TRACAGE HUMAIN, même sans caméras et avec un bruit résiduel, je pourrais réaliser des prouesses dont mes éventuels supérieurs hiérarchiques se réjouiraient, tellement ils n’auraient même pas osé en rêver eux-mêmes.

Maintenant ATTENTION : Un TRACAGE HUMAIN accepté entrainera inexorablement le besoin d’amélioration de ce traçage et donc l’acceptation de meilleures techniques de traçage (consultez mes posts précédents pour savoir de quoi je parle).

Or en tant que spécialiste du traitement du signal ayant déposé des brevets sur une technique particulièrement performante dans ce domaine (plongement fractal, à l’implémentation par chainage toujours tenue secrète), je pourrais identifier la signature de n’importe quel comportement humain grâce à l’identification temps réel de corrélats à l’aide de bases de données de signaux enregistrés sur un Cloud et déjà pré-analysés.

On n’a pas besoin d’une caméra pour savoir ce que quelqu’un est en train de faire, il suffit d’avoir un signal quelconque sur cette activité et d’avoir une base de données d’activités pour identifier des signatures tout à fait pertinentes et je vous assure que cette identification pourrait être très puissante au point de ressembler à de la magie si le signal est bon (5G + objets connectés + traçage externe ou interne).

On n’a pas non plus besoin d’un être humain entrain de surveiller des caméras pour savoir ce qui est en train de se passer dans un environnement filmé ou simplement tracé par un signal capté. Un être humain est déjà en général peu fiable sur la vision (détection des feux ou fumées), il ne l’est même plus sur un signal. Un être humain n’est fiable qu’en dernier ressort, seulement sur la vision, lorsque le programme d’analyse lui demande de lever un doute résiduel.

Tout cela pour vous dire que si des technologies de traçage humain se mettent en place, il est clair que vous ne serez pas surveillés par des humains mais de manière constante, nuit et jour, par des programmes.

C’est cela que j’aimerais que vous compreniez et je vous laisse imaginer tout ce que cela implique.

Comprenez que nous vivons dans un règne du mental (ou parc de la pensée) qui est fondamentalement buggé, c’est-à-dire faux ou illusoire si vous préférez. Un être humain a déjà du mal à sortir de la boite de son mental pour avoir une vision éclairée d’un quelconque comportement, alors je vous laisse imaginer ce que peut donner un programme. Il aura beau être plus performant qu’un humain sur le plan de l’objectivation des faits, il sera évidemment totalement inhumain sur le plan du jugement des faits.

Or ce qu’on va lui demander sera bel et bien une sorte de pré-jugement préalable, ne serait-ce que pour ne pas faire débarquer chez vous ou ailleurs la police à chaque fois que vous allez pisser. »

Dans un billet d’humeur d’août 2020, il insiste sur cette ère du transhumanisme dans laquelle la crise du covid nous fait entrer de plain-pied :

« Je ne suis personnellement ni réellement anti-masque ni pro-masque, je suis seulement contre l’obligation du port du masque. Les « pro-masques » et plus précisément ceux qui sont pour l’obligation du port du masque sous-estiment grandement le fait que le masquage est un prélude à la vaccination, qui est elle-même un prélude à l’identification numérique puis au traçage humain qui s’ensuivra naturellement, avant de nous conduire en très peu de temps à l’ère transhumaniste, introduite par l’analyse temps réel de tous nos gestes, actes, déplacements et rencontres par des programmes, ma spécialité. Or cette perspective est à mes yeux bien plus grave que n’importe quelle bombe atomique ou guerre mondiale. »

Et dans un livre collectif intitulé Bas les masques, il précise sa pensée :

« Le port rendu obligatoire du carnet de vaccinations numérisé afin de pouvoir se déplacer sera la porte d’entrée dans le transhumanisme, puisque cela va imposer le traçage humain, avec le pucage pour en améliorer le confort. Le grand luxe de l’avenir, auquel n’auront accès que les plus riches, sera d’échapper à ce traçage. Je vous en ai deja expliqué les raisons dans de précédents posts. Le risque que représente la vaccination contre la santé n’est finalement rien à côté du risque que représente la preuve de la vaccination contre la liberté et l’intégrité de l’humain en général. Bill Gates et Marc Zucherberg se fichent complètement du premier risque car ce qui les intéresse, c’est de nous faire accepter le second risque, qui va enrichir leur business d’une façon inimaginable, en nous faisant entrer dans le foutur / […]

N’ayez pas peur de cette perspective, informez en tout le monde y compris madame Michu et faites vous une joie de résister et de visualiser puis construire un nouveau monde ou l’humain retrouve son âme.

Commencez par leur faire se demander pourquoi les plus ardents défenseurs de la vaccination sont les business-men géants de l’informatique et non pas les médecins eux-mêmes. »

Francesca de Villasmundo

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