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La frontière macédonienne assaillie par des immigrants violents. Riposte des forces de l’ordre avec des gaz lacrymogènes

Des migrants repoussés par des gaz lacrymogènes à la frontière gréco-macédonienne

La frontière entre la Macédoine et la Grèce étant fermée, environ 7000 clandestins, en provenance du Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique, étaient bloqués dimanche au poste-frontière d’Idomeni.  Ulcérés devant la barrière, ce lundi matin, les immigrés l’ont renversée violemment en invectivant la police macédonienne, qui, menacée de débordements, a riposté avec des gaz lacrymogènes. 

La frontière macédonienne s’est ouverte ce matin pour laisser passer 50 Syriens porteurs de passeports en règle et s’est refermée derrière eux ce qui a ulcéré la masse des autres qui attendent de se déverser sur l’Europe de l’Ouest. Jusque-là, ils accédaient à la ville frontalière de Gevgelija et, de là, ils prenaient le train pour traverser les Balkans. Ils s’en sont pris violemment aux forces de l’ordre macédoniennes postées derrière la frontière grillagée qu’ils ont renversée. Cette violence est la remise en cause, de la part des étrangers, de la décision souveraine de quatre pays des Balkans d’imposer de nouveaux quotas pour endiguer l’afflux de clandestins.

Comme toujours on constate qu’il ne s’agit que de jeunes hommes et certainement pas de familles de réfugiés fuyant désespérés la guerre de Syrie. D’autant plus que le cessez-le-feu en Syrie mis en œuvre samedi dernier, qui est relativement bien respecté, rend caduque la prétention au droit de refuge.

Naturellement la journaliste d’Itélé a fait son commentaire politiquement correct en bonne militante “no-border”. La vidéo est tout-de-même intéressante en raison des images, qui contredisent le commentaire.


La police macédonienne gaze des migrants… par ITELE

La Grèce étant régi par le traité de Schengen, comme la France, elle doit laisser rentrer les immigrants prétendument “réfugiés” et se les garder. Elle ne peut, éventuellement, les renvoyer qu’après avoir étudié le cas de chacun…

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