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La théologienne queer, sœur Teresa Forcades, applaudit l’action du pape François en faveur de l’homosexualité

Religieuse bénédictine, Teresa Forcades n’en a ni l’allure ni la spiritualité. Juste une dénomination, des vœux prononcés dans le passé, un habit remisé au placard…Teresa Forcades est notamment connue pour être une « religieuse » dans le vent, bien de Notre Temps post-moderne, prônant cette culture du choix destructrice des identités biologique, sexuelle, ethnique, nationale… Teresa Forcades, féministe convaincue, qui fut professeur de théologie à l’Université Humboldt de Berlin, a plusieurs casquette multi-colores : elle est aussi définie comme une théologienne « queer ».

Qu’est-ce à dire ?

« La théologie queer est la transposition de la théorie queer dans l’ordre du religieux. La théorie queer consiste en un refus radical des identités de genre (et de toutes les identités), et en un appel à l’expérimentation de dispositifs sexuels nouveaux. La drag queen, dont l’identité est délibérément floue, est un exemple de ce type d’expérimentation.

« Les théologiens queer se saisissent de cette idée pour étayer leur refus des identités, et notamment de la distinction entre hétérosexualité et homosexualité, qu’ils considèrent comme une construction de la modernité qu’il s’agit de subvertir »

explique un spécialiste de la question, le journaliste Stéphane Lavignotte, licencié en théologie protestante.

Récemment, cette religieuse en rupture de clôture, a participé à un colloque intitulé Qu’est-ce que la théologie queer ? Cela lui a permis de faire la promotion du pape actuel et de saluer ce pontificat bergoglien :

« Je crois que sur le thème de l’acceptation de l’homosexualité ou des minorités sexuelles en général dans l’Église, le pape François n’a pas promu des changements doctrinaux mais l’atmosphère dans l’Église a changé. 

« Je peux parler pour moi et pour d’autres compagnes qui travaillent pour une inclusion pleine de l’homosexualité dans l’Église, continue-t-elle. Elles ne sont plus persécutées et ne subissent plus de pressions, donc en ce sens le changement est notable. […] Je crois que [le pape François] a eu une volonté claire au cours du Synode sur la famille de faire des pas en avant sur le thème de l’homosexualité… »

En somme, la dérive arc-en-ciel de l’Église conciliaire apparaît toujours plus évidente… Voici venir le temps de l’homohérésie.

Francesca de Villasmundo

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