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Le don du sang ouvert aux homosexuels au mépris de la santé publique

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La folie homosexualiste ne laisse aucun pan de la société intacte. L’un des derniers secteur à échapper à cette volonté contre nature était la santé publique, mais le verrou est entrain de sauter avec l’assentiment de la ministre de la santé, Marisol Touraine :

« lever les discriminations relatives à l’orientation sexuelle, et de leur substituer un critère de comportement sexuel s’appliquant à l’ensemble des donneurs potentiels »

Comprenez donc que la santé des français passe après l’idéologie et la folie homosexualiste du gouvernement. L’amendement avait été déposé le député UDI – alliée de l’UMP – Arnaud Richard :

« Nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle »

Cette modification a été voté à l’unanimité par les 19 membres de l’Assemblée nationale présents.

Le docteur Jean-Pierre Dickès écrivait dès le mois de juillet :

Actuellement sont diagnostiqués entre 6400 et 6800 nouveaux cas de sida en France. La moitié concerne les homosexuels masculins. Selon Le Figaro, le sida chez les homosexuels masculin est « incontrôlé » depuis trois ans. Cela veut dire qu’un certain nombre de cas n’est pas diagnostiqué et que leurs porteurs sont susceptibles d’infecter d’autres personnes sans le savoir. Le site test hiv-aides écrit que 30.000 personnes sont ignorantes de leur séropositivité.

Or il suffit de taper sur Internet ces mots « incubation sida » pour savoir que l’incubation du sida est de trois à six semaines. Pendant toute cette période il est impossible de diagnostiquer la maladie par les tests biologiques. Il est même possible de trouver des phrases comme celles-ci. « La négativité de ces 2 tests 3 à 4 mois après un contact suspect n’affirme pas l’absence d’infection par le sida. »

Cela veut dire que des homosexuels peuvent en toute bonne foi venir donner leur sang alors que la maladie est en incubation et que le sérodiagnostic est négatif. Celui-ci sera injecté à d’autres Français.

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