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Le sens de la mort chrétienne au XVIII° siècle en vue de la vie éternelle : l’expérience de la famille de Ségur

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Vers 1860 : la comtesse de Ségur et son fils, Mgr Louis-Gaston de Ségur que le curé d’Ars surnommait « le saint aveugle ». en raison de sa cécité.

MPI vous propose aujourd’hui une note de lecture rédigée par une de nos fidèles lectrices, Colline VALLA, sur le thème de la fin de vie, texte que nous pourrions titré  « La fin de vie : une rampe de lancement vers la vie éternelle ». 

En cette année horribilis de 2025, où fleurissent hélas sur la terre de France, les pires hérésies et profanations, voici – en cliquant sur l’image ci-après – racontée par son fils Mgr de Ségur, l’agonie interminable de sa mère, auteur célèbre au XVIII° et XIX° siècles, de romans qui ont édifié, enseigné, instruit et sanctifié des générations d’enfants français et qui, devenus adultes, ont poursuivi la lecture des romans de la comtesse de Ségur, auprès de leurs enfants et petits enfants.

En cliquant sur l’image, vous arriverez directement sur le livre en lecture directe.

La comtesse de Ségur s’appelle Sophie Rostopchine. Elle prit le nom de son époux à son mariage – Eugène de Ségur – puis, elle s’installa en Normandie au château des Nouettes.

C’est à 59 ans que sa vocation d’écrivain apparaîtra : Elle rédigea des histoires du soir pour faire endormir ses petits enfants.

De là , ses histoires passionnantes furent publiées en romans et connurent un succès si retentissant qu’elles furent traduites dans toutes les langues de la vieille Europe (anglais, russe, allemand, italien, espagnol).

Jusqu’au milieu du  XX° siécle, ses romans étaient lus dans toutes les écoles catholiques de France. Aujourd’hui encore, elles le sont dans les écoles traditionnelles catholiques.

Les lecteurs de la Comtesse de Ségur, devenus, ses fils et enfants adoptifs, héritiers de l’héritage catholique éternel, grâce aux vertus chrétiennes que l’auteur a si bien mises en scène dans ses romans, ne peuvent que s’émouvoir de la fin de vie de leur mère adoptive. Quelle leçon de courage que de supporter une si longue agonie.

En 2025, il est très surprenant de constater que la Providence agit en dehors de toute contingence humaine, matérielle, temporelle, personnelle.

Dieu utilise tout à son avantage y compris des souffrances, physiques et morales afin de sanctifier non seulement le mourant mais aussi tous ceux qui assistent à cette agonie.

La souffrance physique, morale et spirituelle est une façon de remonter le temps, 2025 années en arrière et de se trouver sur le mont Golgotha, où chacun occupe la place que Dieu lui réserve :

– le mourant, celle du Christ crucifié,
– les parents celle de la mère éplorée, la Vierge Marie;
– les amis, celle de l’ami dévasté, l’apôtre Saint Jean.

L’opuscule rédigé par Mgr de Ségur sur l’agonie de sa mère, nous enseigne, qu’une fin de vie vécue en prière et en patience, n’est rien d’autre qu’une rampe de lancement vers la vie éternelle.

La souffrance a du sens et ne doit non-seulement pas être supprimée, ni annihilée mais au contraire vécue dans la présence, le calme, la confiance, la prière et l’espérance de la vie éternelle.

Puisse ce message être entendu utilement.

Colline Valla-B

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