Le président élu d’Argentine, Mauricio Macri, a été la cible de dures critiques de la part de son homologue, le président socialiste du Venezuela, Nicolas Maduro qui a déclaré que Macri est le président idéal des États-Unis, l’éternel ennemi du socialisme.
Mauricio Macri a été élu président de la république d’Argentine il y a deux semaines et son parti incarne la droite libérale du pays. Il prendra officiellement le pouvoir le 10 décembre prochain. Cependant, sans avoir encore reçu l’investiture présidentielle, il a critiqué l’ancien gouvernement de gauche de la famille Kirchner (présidente sortante) et sa politique de tendance socialiste qui a ruiné le pays.
Dès qu’il prendra le pouvoir, deux réformes auront lieu rapidement. La première, il demandera au Congrès argentin de rompre des relations bilatérales avec le Venezuela, et deuxièmement, revoir les traités avec l’Iran.
Néanmoins, le président du Venezuela a riposté en affirmant que « le peuple argentin est prêt pour lutter contre Macri ».
Mauricio Macri, selon la presse locale, demandera également, pendant le Sommet du Mercosur, au mois de décembre, que l’on applique la clause démocratique contre le Venezuela à cause de la « persécution » envers les opposants du régime socialiste et à cause de la transgression à la « liberté d’expression ».
Maduro a soutenu que les États-Unis forcent les présidents d’Amérique Latine à lutter contre le gouvernement socialiste du Venezuela et a accusé l’Amérique d’être « un empire assassin d’enfants et des peuples ».
Sûrement, cet homme politique, qui affirme avoir reçu l’investiture du président Hugo Chavez, après son décès, grâce à une colombe qui est descendue des cieux et s’est posée sur son épaule, connaît très peu l’histoire du communisme et ses crimes dans le monde entier.
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