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L’exposition Europunk et le collectif Bazooka qui faisait la promo de la pédophilie dans le journal “Libération”

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La Cité de la Musique à Paris accueille depuis le 15 octobre une exposition intitulée « Europunk » consacrée notamment à l’anarchie dans le graphisme.

Le commissaire de l’exposition, Eric de Chassey, par ailleurs directeur de la Villa Médicis à Rome, y fait la promotion de cette « contre-culture » basée sur « l’esthétique du chaos ». Un courant « artistique » qui continue d’exercer une influence sur la mode et le graphisme d’aujourd’hui.

Il y a là les Sex Pistols, les Clash et surtout le collectif parisien Bazooka. Les perversions s’étalent au grand jour au nom d’un concept : « l’imagerie de la provocation ». Iconographies homosexuelle et sado-masochiste sont présentées comme de « l’explosion graphique » !

Revenons donc quelques instants sur ce fameux collectif Bazooka que l’exposition nous situe comme des « enfants de Dada, du constructivisme (ndlr : cette élucubration philosophique agitée aujourd’hui par les idéologues du genre) et des comics underground ». Ce collectif voulait imposer sa « dictature graphique », mélange de pornographie, d’images décalées d’actualité et de morbidité. Le journal Libération éditera leur mensuel Un regard moderne. Tout cela, cette exposition le montre avec délectation. Encore faut-il préciser que ce même collectif a poussé le vice jusqu’à faire la promotion de la pédophilie !

Médias-Presse.Info avait déjà évoqué la publication par le journal Libération d’articles faisant la promotion de la pédophilie. Avec parmi les illustrations, cette « œuvre » du groupe Bazooka reprise de la revue Regards modernes et montrant une fellation réalisée par une petite fille, sous le titre « Apprenons l’amour à nos enfants » (publié le 5-6 novembre 1978 dans la page d’annonces « Taules »).

Bien évidemment, cette exposition qui vante ce collectif Bazooka sans évoquer l’entièreté de ses déviances bénéficie de partenariats avec quantité de médias – dont Libération qui ne semble pas renier son passé – et de quelques subventions…

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