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Nouvel appel du pape François en faveur des migrants

Alors que l’Italie, pour décourager le trafic d’êtres humains entre l’Afrique et l’Europe, ferme ses ports aux bateaux humanitaristes chargés de clandestins, alors que le ministre de l’Intérieur allemand, Horst Seehofer, prescrit à son pays une politique immigrationniste plus ferme pour contrer les vagues sans fin d’immigrés, le pape François, dont la vision immigrophile ne varie pas d’un iota, est venu au secours de l’invasion.

Au cours de l’Angelus d’hier dimanche 22 juillet place Saint-Pierre, il a employé à nouveau des mots larmoyants et culpabilisants pour promouvoir en Europe l’impératif de l’accueil des ‘migrants’. Il a exprimé « sa douleur » pour les naufrages en mer, « sa prière » et « ses condoléances » pour les disparus et leurs familles : « J’exprime ma douleur face à de telles tragédies et j’assure les disparus et leurs familles de mon souvenir et de ma prière». Et il a appelé, encore une fois, la communauté internationale à « agir avec décision et promptitude afin d‘éviter que de semblables tragédies se répètent » et « à garantir la sécurité, le respect des droits et de la dignité de tous » :

« j’adresse un appel plein de tristesse afin que la communauté internationale agisse avec décision et promptitude, afin d’éviter que de telles tragédies se répètent, et afin de garantir la sécurité, le respect des droits et de la dignité de tous. »

Il a formulé cette ingérence dans la politique intérieure des pays européens, cet appel à l’ouverture sans limites des portes du Vieux Continent à toute la misère du monde qui s’invite, cette culpabilisation des Européens qui innocente à bon compte les dirigeants africains, devant un groupe de religieux et laïcs qui les jours derniers avaient participé à un jeûne relayé devant le parlement italien, organisé par le père Zanelli, pour protester contre la fermeture des ports italiens aux débarquements de clandestins.

Le pape François reste pour l’instant le meilleur allié des mondialistes et des cosmopolites, ces artisans d’un monde sans nations, sans peuples, sans identité, d’un monde de nomades matérialistes corvéables à merci…

Francesca de Villasmundo

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