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Philippe de Villiers attaque fort à la 4e Fête du Livre de Nantes

Le 11 décembre, nos amis de Chiré continuaient leur tour de France : après Lyon, Lille, Paris, les voici à Nantes,  plus exactement au Château de la Poterie, à la Chapelle-sur-Erdre, situé à 3 kilomètres à vol d’oiseau du mythique stade de la Beaujoire (celui du FC Nantes depuis 1984, en remplacement du stade Marcel Saupin – fondateur du club en 1943 et partisan avant l’heure de l’Union européenne et de l’amitié franco-allemande…), donc à peu près dans l’épicentre des retombées des tirs ratés (pléonasme) d’Ismaël Bangoura.

Près de 800 personnes sont venus rencontrer les 43 auteurs présents, ainsi que les trois maisons d’éditions, Chiré et les Editions des Petits Chouans, sa nouvelle filiale dans les éditions pour jeunesse, ainsi que les Editions du Sel (Dominicains d’Avrillé, venus en voisins).

Deux conférenciers, Jacques Trémolet de Villers et Philippe de Villiers se sont succédés à la tribune. Le premier évoqua Jeanne d’Arc, notamment son procès, en démontrant que ce dernier était l’ancêtre des procès politiques, dont celui de Nuremberg fut l’exemple le plus célèbre, même si celui de Jeanne d’Arc était plutôt un avant-goût des procès de Moscou. Cette nouvelle « justice » impliquait une satanisation totale de l’adversaire, qui perdait toute humanité et bien sur tout droit. Le tribunal ecclésiastique présidé par ce redoutable dialecticien qu’était Pierre Cauchon (ancêtre des Vychinski et autre Jackson) préfigurait également ce qui allait devenir plus tard la secte conciliaire, avec une collégialité ecclésiale qui refusait les demandes de Jeanne d’en appeler au Pape.

Quant à Philippe de Villiers, il venait présenter son dernier ouvrage Les cloches sonneront-elles encore demain ? », succès de librairie en perspective si on en croit la queue pour l’acquérir, qui me faisait rappeler par la longueur celles devant les boulangeries de Gabra aux grandes heures sombres de l’ère Todor Khristov Jivkov… Lors de sa conférence très écoutée, l’ancien Président du Conseil Général de Vendée se livra à un réquisitoire féroce contre le régime en place, très écouté par Bruno Mégret présent à la journée (et on est en droit d’avoir des regrets sur des non-alliances passées). L’ONU, comme l’avait d’ailleurs dénoncé en son temps – et dans l’indifférence générale – le même Mégret en l’an 2000, veut imposer la colonisation de la France par 16 millions d’allochtones, au rythme de 800.000 par an.

Se fondant sur des documents transmis par les services de renseignements français, il montre comment le Grand Remplacement est une réalité et qu’elle est imposé  au plus haut échelon, selon un projet appelé « l’Euristan » de son vrai nom, plus exactement de son nom contemporain. Philippe de Villiers, qui devait probablement lire feu Le Libre Journal de la France Courtoise, a du entendre parler du projet « Iron Mountain » imposé à Pompidou par les vainqueurs de 1945 au début des années 1970, mais dans les faits, mis en branle par Giscard d’Estaing, Veil, Stoléru et Stasi (trouvez l’intrus…). Rappelons cette phrase d’un général américain, citée par Le Figaro Magazine dans ses fac-similés des journaux de guerre (donc vers 1984-1985) : « Nous ferons de la France une colonie de vacances pour nos nègres ».

La France, qui se gargarise des grandes heures de la Résistance est en fait dirigée par les plus répugnants collabos de l’histoire, celle des deux partis de gauche dont l’un s’appelle la droite. La « droite » achetée par le Qatar, la gauche achetée par l’Arabie Saoudite, les deux à jeter par la fenêtre…  Philippe de Villiers fait  un parallèle entre l’avortement et le Grand Remplacement. Les deux sont liés. Les deux font partis du même projet, avec pour but l’éradication des peuples européens, tel que cela avait été cogité dans les cartons des vainqueurs, sous prétexte de nous faire « expier » des crimes largement imaginaires. La boussole de la bonne conscience indiquait le sud et leur bien était le mal, leur mal était le bien. Notons qu’il donne une précision sur Najat Belkacem qui a été mandaté par les dirigeants religieux marocains pour favoriser l’enseignement en France de la langue du colon.

Riche idée que nos amis de Chiré eurent de faire intervenir un conférencier ayant des révélations de ce calibre à faire. Remercions encore l’équipe de Chiré pour sa compétence coutumière et son sens de l’accueil, Jean Auguy patrouillant sans relâche pour veiller à la bonne marche des opérations. Un mot aussi pour la Librairie Dobrée de Nantes, organisatrice de l’évènement.  Rendez-vous l’an prochain pour la 5e édition.

Hristo XIEP

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