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Réponse à Alain Jakubowicz sur la peine de mort, le bûcher et la charia

Alain Jakubowicz, que tout le monde connaît, qui a défendu Nordahl Lelandais avec une insolence révoltante, se pose à présent en défenseur des bourreaux de la petite Lola, dont le meurtre atroce a répandu dans tout le pays la stupeur et l’indignation.

Alain Jakubowicz demande ce que nous penserions d’un écartèlement en place publique, suivi d’un bûcher, pour les auteurs de ce crime. C’est à peu près ainsi (ajoute-t-il) que les choses se passent dans les pays qui pratiquent la charia.

Pour ma part, ne pouvant répondre que pour moi-même, j’avoue humblement que je ne verrais pas d’inconvénient à ce que les auteurs de ce crime soient brûlés vifs.

C’est probablement ainsi que les choses se seraient passées, non pas dans je ne sais quelle contrée orientale, mais chez nous, il n’y a pas si longtemps.

Quant aux pays qui pratiquent la charia, grand bien leur fasse !

Il n’y a aucune raison valable de garder en vie les violeurs et les assassins d’enfants. Il est insupportable de penser qu’on emploie de l’argent public à les nourrir, loger, chauffer et soigner à perpétuité. Dans quel but ? Tout ça parce que nous avons peur du sang ?

Il n’y a aucune raison contre la peine de mort. Il n’y a que de la sensiblerie.

Puisque nous avons répondu à la question d’Alain Jakubowicz, à notre tour nous aimerions savoir pourquoi ce dernier, qui faisait une carrière apparemment florissante dans l’antiracisme, s’est tout à coup reconverti dans la défense des violeurs et des assassins d’enfants. Quel est le lien ? Une passion secrète pour la mort des Européens ? Qu’est-ce après tout que l’antiracisme, quand on y regarde de près, si ce n’est un appel déguisé à la chasse aux blancs ?

Jules Putois

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