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République Dominicaine : le Tribunal constitutionnel renouvelle la protection à l’enfant et pénalise à nouveau l’avortement

El Tribunal Constitucional (TC) realizó una audiencia solemne en el Aula Magna de la Universidad Autónoma de Santo Domingo (UASD), a la que asistió el presidente Leonel Fernández.
En el discurso de apertura, el presidente del TC, Milton Ray Guevara, consideró que constituye un acto de justicia celebrar esa importante ceremonia en la alta casa de estudio, lugar donde el 9 de octubre de 2006 se abrió el proceso de reforma de la Constitución mediante consulta popular sin precedentes con un discurso a la nación por el presidente Fernández.
Fotos: Carmen Suárez/acento.com.do
Fecha: 26/01/2012.

Le 04 décembre 2014, le Tribunal Constitutionnel de République Dominicaine a déclaré que le Code Pénal légitimant l’avortement était anticonstitutionnel. Cette loi pro avortement avait été approuvée par le président Danilo Medina le 16 décembre 2014  et allait entrer en vigueur le 19 décembre 2015.

Cette loi a été finalement déclaré anticonstitutionnelle après que le Tribunal de République Dominicaine ait pris en considération le recours présenté par les associations pro vie Justice et Transparence, Transparence et Démocratie, et la Fondation Mariage Heureux. 

L’un des arguments présentés par la Fondation Justice et Transparence, Transparence et Démocratie, dirigée par Trajano Vidal Potentini, était que le code pénal avait des irrégularités notoires, et en dépit de cela, la loi avait été approuvée.

La Fondation Mariage Heureux a expliqué que le soi-disant « avortement thérapeutique » voilait la Constitution puisqu’elle légifère en faveur du droit à la vie depuis la conception.

Certains ont signalé que cette décision n’est pas la meilleure pour le pays. L’organisation Amnesty International a affirmé que cette décision représente un recul en ce qui concerne les « droits de la femme ».

Cette organisation fait de la promotion de l’avortement en déclarant que c’est « un droit de l’homme ». La représentante du Fonds des populations des Nations Unies, Sonia Vasquez, a critiqué cette décision. Elle a affirmé : « Nous aurons beaucoup plus de femmes qui mourront à cause des avortements clandestins ».

Heureusement, il y a encore des politiciens en Amérique Latine qui combattent le crime atroce de l’avortement. Espérons que les autres représentants et dirigeants respectent la décision prise en faveur de la vie et arrêtent de favoriser les entreprises milliardaires promotrices de l’avortement telles que le Planned Parenthood, laquelle, en 2012, a financé la campagne électorale de l’actuel président des États-Unis, Barack Obama.

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