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Symptômes idéologiques de notre temps, après la genderofolie, voici la climatofolie : manger de la viande humaine pour éviter le réchauffement

Pour limiter les effets d’un soi-disant réchauffement climatique anthropique, pourtant contesté par de nombreux scientifiques mais devenu dogme religieux de Notre Temps apostat, un professeur, des plus sérieux et reconnus de Suède, propose que la viande du futur soit de la viande humaine.

Cette effarante proposition a été faite par Magnus Soderlund, professeur à la School of Economics de Stockolm, lors d’un sommet dédié à la « nourriture du futur » et intitulé « Pouvez-vous imaginer manger de la chair humaine ? ». Il a suggéré qu’il sera peut-être nécessaire d’avoir recours à la viande humaine dans le futur, pour sauver la planète des changements climatiques. Il a ajouté qu’il faudra certainement organiser des séminaires sur la nécessité de consommer de cette nourriture humaine pour arrêter ce réchauffement global. Selon lui manger des cadavres humains plutôt que de la viande animale et des légumes pourrait être la solution idéale au problème environnemental parce que cela permettrait d’éliminer l’industrie de la viande et de l’agriculture qui est, toujours d’après ces ayatollahs de l’écologisme rouge, en grande partie responsable du réchauffement climatique.

Absorber une telle nourriture selon Soderlund, « libérerait » la civilisation d’un des tabous les plus anciens de l’humanité : manger des hommes ! « Aujourd’hui consommer le corps d’un cadavre signifie outrager d’une certaine façon le défunt » a expliqué Soderlund. Quelle idée rétrograde pour ce cannibale en puissance…

Après la genderofolie, qui ne respecte aucune frontière biologique et naturelle du corps humain ni aucune loi naturelle et sociale, voici donc la climatofolie. L’une et l’autre ne sont que des perversions diaboliques, qui s’autorisent toutes les transgressions, nées dans la tête des apprentis-sorciers d’un « meilleur des mondes » totalement haineux de la Création divine.

Un meilleur des mondes tyrannique, le top de la civilisation du progrès, qui reporte l’humanité aux temps pré-historiques et la réduit à la bestialité sauvage : à quand des élevages d’êtres humains pour nourrir d’autres êtres humains ?

Francesca de Villasmundo


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