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Un militant pro-avortement déclare que la femme doit aussi avoir le droit de tuer son enfant après la naissance si elle le veut !

Une vidéo tournée en marge de la marche pour la Vie organisée le 14 mai dernier à Ottawa, au Canada, démontre la  « logique » mortifère des partisans du pseudo-droit à l’avortement.  Dans cette vidéo (ci-dessous) un contre-manifestant “pro-choix” nous raconte que seules les femmes ont le droit de décider de se faire avorter ou non.  Évidemment, cet homme utilise la rhétorique habituelle des militants de la culture de mort. Mais il va ici jusqu’au bout du raisonnement.  Examinons le contenu de son discours.  
Cet homme pro-avortement ne veux pas que vous regardiez cette vidéo YouTube (5:11 min.) :

Selon ce militant pro-avortement, ce n’est pas au gouvernement ni à aucune institution religieuse d’imposer des restrictions aux femmes en matière d’avortement. Lorsque la journaliste lui demande si on devrait tout de même limiter le droit à l’avortement au moins pour le dernier mois de grossesse, il répond non. La journaliste lui demande alors s’il considère qu’une femme devrait encore pouvoir avorter son enfant la veille de sa naissance et il répond imperturbablement oui, car il faut
que ça demeure son choix. Mais alors, lui demande finalement la journaliste, une femme pourrait-elle aussi tuer son bébé après sa naissance ? “Pourquoi pas, lui répond-il, puisque c’est une fois de plus une décision qui lui revient à elle seule”.  

Ce militant “pro-choix” illustre jusqu’au bout la logique mortifère de son raisonnement et pense qu’il faut donner aux femmes le droit de tuer leurs enfants ! La journaliste n’a pas pensé demander à ce militant de la culture de mort jusqu’à quel âge l’enfant doit-il être à la merci d’un tel droit de vie ou de mort et, ensuite, à partir de quel âge cet enfant devrait-il avoir le droit de vie et de mort  sur sa mère…

Les mouvements pro-vie du Québec font remarquer que dans ce pays qui a légalisé l’avortement et l’euthanasie, il est interdit de tuer les oiseaux migrateurs, ou de s’en prendre à leurs œufs. 

Etrange monde dans lequel l’œuf d’un oiseau migrateur est mieux protégé qu’un fœtus humain dans l’utérus de sa maman.

Directive du Ministère de l’Environnement du Canada :

« Il est illégal de harceler ou de tuer des oiseaux migrateurs ainsi que de détruire ou de déranger leurs nids ou leurs œufs. Il est également illégal de rejeter une substance nocive pour les oiseaux migrateurs, ou de permettre qu’une telle substance soit rejetée dans les eaux ou les zones qu’ils fréquentent. » (<https://www.ec.gc.ca/paom-itmb/default.asp?lang=Fr&n=E3167D46-1#_005>source)

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