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Vendin-le-Vieil (62) : Salah Abdeslam pris avec une clé USB interdite, par Jacques Frantz

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Clé USB dans la cellule de Salah Abdeslam : le PNAT enquête sur un projet d’attentat de son ex-compagne

On se rêverait facilement à l’époque
où la peine de mort existait encore…

Alors que le pays est en état d’alerte à la veille des commémorations des dix ans des attentats du 13 novembre 2015 au sujet desquels toute la lumière est loin d’être faite, nous apprenons que Salah Abdeslam, incarcéré à grands frais dans une prison 4 étoiles, fait joujou avec des clés USB.

Pour rafraîchir la mémoire de ceux qui osent me faire la morale au sujet de mes prises de position récentes concernant la peine de mort, je rappellerai que ce descendant d’immigré venu enrichir la France et la Belgique, enrichissement qui a connu son apogée le 13 novembre 2015, a ôté la vie avec une sauvagerie innommable à 130 personnes (une broutille).

Des gens qui ont goûté ce jour-là aux fruits de l’incompétence et du laxisme idéologique de la gauche.

On rappellera à toutes fins utiles que Salah, un peu moins dégénéré que ses frères, s’est fait dessus au moment d’actionner le dispositif sensé l’envoyer au paradis d’Allah avec ses congénères.

Je rappellerai aussi que la Cour européenne des droits de l’homme de Soros s’est émue de ce que Salah Abdeslam n’ait pas de salle de sport à sa disposition.

Je rappellerai encore que comme toutes les personnes condamnées à la réclusion criminelle à perpétuité soi-disant incompressible sortira un jour de prison. On vous vendra à cette fin une conduite exemplaire, voire pourquoi pas, une sincère conversion à Jésus. Ça marche toujours ce genre de truc.

Si la peine de mort n’avait pas été abolie pour les seuls criminels (est-il besoin de rappeler qu’elle s’applique toujours aux plus de 250 000 enfants par an dans le sein de leur mère), Salah Abdeslam irait nourrir vers et asticots sous un tas de fumier.

Qu’on se rassure, même mort, Salah Abdeslam resterait en France car les pays du Maghreb ne reprennent jamais leurs plus illustres enfants, même à l’état de cadavre, mais au moins, le contribuable cesserait de l’entretenir.

À moins que, dissuadé par l’idée de mourir jeune, Salah Abdeslam en soit resté à la simple rapine, sans basculer dans le crime de masse.

Au lieu de cela, la société prend un soin tout particulier de quelqu’un qui, sait-on jamais, pourra peut-être récidiver un jour.

Jacques Frantz

Sources : Fdesouche / Le Parisien

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