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Affaire Vincent Lambert (suite)

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“J’aurais ta peau jeune salaud”... semble bien être la devise du Gouvernement et de l’Administration, à l’égard de Vincent Lambert de nouveau en grand danger. Parce qu’il est devenu le symbole du refus de l’euthanasie administrative et financière, qu’on veut nous imposer.

Le 26 mai le “neveu” – en appel au tribunal administratif de Nancy de la décision de celui de Châlons qui rejetait l’arrêt de l’alimentation – a réclamé à nouveau la tête du célèbre handicapé. Lequel ne va pas si mal, malgré ses conditions de détention au CHU de Reims, puisque cela fait 3 ans qu’il est proclamé “en fin de vie” par la coterie euthanasique, et qu’il est toujours là, souffrant certes, mais vivant et conscient.

Le rapporteur public a de nouveau réclamé une “procédure médicale et collégiale” pour mettre fin à ses jours. Cet assassinat médico- juridique semble impératif pour les bourreaux ( dont fait partie le Conseil de l’Ordre des Médecins), à cause de la loi Léonetti, votée par les malheureux “représentant du peuple”, qui est une loi d’euthanasie. La vraie solution consiste bien sûr à le transférer dans un autre service hospitalier – il n’en manque pas – comme le réclament depuis 3 ans ses parents et ses avocats : ” handicapés de tous les pays : UNISSEZ – VOUS !…”

La Cour de Nancy rendra sa décision le 16 juin.

                                                                                                                                                                    Docteur Luc Perrel 

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