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Athlétisme et genderofolie, les non-transsexuelles discriminées

Il souffle sur le monde de la non-discrimination à tout va une folie « gender », source elle-même de discriminations à tout casser, les droits des minorités l’emportant sur les droits de la majorité !

Le monde sportif féminin est certainement le plus touché par l’absurdité idéologique qui consiste à permettre, au nom des droits des transsexuels, à des hommes qui se croient femme de rivaliser avec des vraies athlètes féminines.

Selina Soule est une étudiante américaine, qui pratique l’athlétisme, au lycée de Glastonbury, dans le Connecticut. Elle a été contrainte de concourir avec des athlètes hommes qui affirment être des femmes. Avec deux autres compagnes, elle a adressé une pétition au Département de l’Éducation national des États-Unis, dans laquelle la Conférence inter-scolaire d’athlétisme du Connecticut est accusée d’avoir discriminé les filles biologiques et violé leurs droits. En deux semaines cet appel a reçu plus de 117 mille signatures.

« Les jeunes filles méritent de concourir sur un plan de parité » a soutenu Selina Soule auprès du Middletown Press. Elle espère aussi que « l’équité revienne dans les compétitions d’athlétisme ».

Cette histoire, qui n’est pas un cas isolé, loin de là,  met bien en évidence que les vraies discriminées aujourd’hui sont les personnes non-transsexuelles !

Francesca de Villasmundo

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