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Attentat de Nice : la responsabilité énorme du pape François

Si certains, comme M. l’abbé Patrick de La Rocque, Prieur du prieuré Saint-Joseph de Nice de la F.S.S.P.X. ont le courage de pointer du doigt, dans l’attentat islamiste de Nice, la responsabilité de l’actuel Président de la République, Emmanuel Macron revendiquant avec une inconscience insouciante un « droit au blasphème » et ne reconnaissant aucun « un respect sacré », il en est un autre que l’on peut désigner pareillement comme un des responsables collatéraux de cette tuerie au couteau : le pape François.

Le tueur mahométan n’est-il pas un de ces « chers migrants » dont le pontife argentin se fait le garant ? Un de ces « chers réfugiés » débarqués dans cette île de Lampedusa, envahie tragiquement d’allogènes, mais où Jorge Maria Bergoglio avait fait, dès son avènement en 2013, un de ses premiers shows, tenant à saluer ce que ces « chers » protégés portent en eux : « une histoire, une culture, des valeurs précieuses ». Une culture et des valeurs précieuses qui ont coûté la vie à trois personnes horriblement mutilées et tuées par le pauvre immigré Ibrahim Issaoui.

Né en Tunisie le 29 mars 1999, il est arrivé en Italie en septembre. Après avoir atterri à Lampedusa le 20 septembre, avec un groupe d’autres migrants qui se trouvaient sur un bateau, il a été transféré dans le centre d’identification des Pouilles et photographié par la police. Après la photo-signalisation réalisée à Bari, il a été inséré dans les terminaux pour « entrée illégale sur le territoire national ». Un arrêté de refoulement du préfet de Bari avait été pris à l’encontre de Ibrahim Aoussaoui accompagné d’un ordre du préfet de police de quitter l’Italie dans les sept jours mais son transfert dans l’un des centres de rapatriement n’avait pas été ordonné. Et Ibrahim a donc disparu des radars… pour réapparaitre à Nice où il a atteint la notoriété « grâce » à son acte terroriste islamiste et anti-chrétien.

« Si le débarquement à Lampedusa en septembre, le passage à Bari puis la fuite sont confirmés pour l’attaquant à Nice, nous demandons la démission du ministre de l’Intérieur [italien] Lamorgese », a clamé en colère le leader de la Ligue Matteo Salvini.

Nous pourrions rajouter que « si le débarquement à Lampedusa en septembre, le passage à Bari puis la fuite sont confirmés pour l’attaquant à Nice », le pape François se doit de faire son mea-culpa et de cesser son discours à tout-va immigrophile et immigrationniste.

Pour l’instant rien de tel n’arrive des couloirs de Sainte Marthe. Juste un communiqué et un tweet publiés le jour de l’attaque terroriste annonçant les prières du pape « pour les victimes, pour leurs familles et pour le bien-aimé peuple français, afin qu’il puisse réagir au mal par le bien ».

 

Il ne semble pas que le jésuite argentin prenne conscience du problème funeste que constituent l’invasion migratoire venant du monde musulman et son corollaire, l’islamisation de la société du Vieux continent. Le pape a simplement condamné auprès d’Emmanuel Macron, dans un langage des plus « fluides », son « rejet absolu du terrorisme et de l’idéologie de la haine qui divise, tue et met en péril la paix » ainsi que sur l’importance du dialogue entre les religions. Aucune condamnation de l’assaillant et de sa religion, le tueur n’aurait été inspiré, à en croire le pape, que par une vague idéologie de la haine sans nom et sans visage.

Avec les inconscients insouciants Macron et François, tout inspirés par leur idéologie multiculturelle et mondialiste, le peuple français et catholique a dû soucis à se faire car les terroristes islamistes ont encore de beaux jours devant eux !  

Francesca de Villasmundo

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