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Euthanasie et lapsus mortel de Catherine Vautrin, ministre de la Santé

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Ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles de France, Catherine Vautrin

Interrogée sur le plateau de RTL, le Grand Jury, le ministre de la Santé, Catherine Vautrin, a eu un lapsus révélateur quant à la loi sur l’euthanasie. Elle a parlé de « victime » au lieu de « patient ».

Alors que cette loi funeste sur l’euthanasie est en passe d’être votée au parlement, un lapsus du ministre de la Santé, du Travail et des Solidarités, Catherine Vautrin, rappelle la vraie nature malthusienne qui se cache derrière ce projet.

Le projet de loi sur l’euthanasie, une loi malthusienne

Invitée par RTL pour répondre aux questions des journalistes de l’émission le Grand Jury, le dimanche 18 février dernier, le ministre de la Santé, du Travail et des Solidarités, Catherine Vautrin, avait eu un lapsus révélateur qu’il est bon de rappeler aujourd’hui.

Lors de sa prise de parole, Catherine Vautrin a été obligée de se corriger. Le ministre de la Santé a en effet eu un lapsus des plus fâcheux.

« Nous consultons avec des éléments très importants. Le premier, c’est bien évidemment le consentement de la victime », a-t-elle indiqué. Victime, le mot est lâché et dit tout du fond du projet, avant de se reprendre : « Non, non, pardon, le consentement du patient ». Même la journaliste qui l’interroge ne peut s’empêcher de dire candidement :

« Étonnant lapsus quand même ».

Catherine Vautrin : « Nous consultons avec des éléments très importants. Le premier, c’est bien évidemment le consentement de la victime »

Le lapsus qui selon Freud, une référence chez tous ces bobos du gouvernement, permet de révéler ce que l’individu ne peut pas admettre lui-même…

Oui, étonnant lapsus qui dévoile la nature malthusienne qui se cache derrière la loi sur l’euthanasie appelée benoitement « loi sur la fin de vie » !

Francesca de Villasmundo

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