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Invité au Texas, Orbán appelle à l’union des conservateurs chrétiens contre le mondialisme – “Je connais bien George Soros, c’est mon adversaire”

Dallas – Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a exhorté les conservateurs à unir leurs forces pour combattre les mondialistes dans son discours de jeudi à la grande convention conservatrice du CPAC au Texas, le principal événement des conservateurs américains.

“Nous devons reprendre les institutions à Washington et à Bruxelles”, a souligné Viktor Orbán, rappelant que les élections de mi-mandat aux États-Unis auront lieu plus tard cette année, suivies des élections présidentielles et du Congrès en 2024, la même année où le Parlement européen est élu. “Ces deux endroits sont les deux fronts dans la bataille pour la civilisation occidentale”, a-t-il affirmé.

“Nous, les Hongrois, savons comment vaincre les ennemis de la liberté sur le champ de bataille politique”, a-t-il déclaré. Selon Orbán, la clé du succès des valeurs conservatrices – nation, famille, racines chrétiennes – même sous l’hégémonie libérale, est de se battre à cent pour cent.

« Les progressistes d’aujourd’hui essaient une fois de plus de séparer la civilisation occidentale de ses racines chrétiennes. Ils franchissent une ligne qui ne devrait jamais être franchie. Si vous séparez la civilisation occidentale de son héritage judéo-chrétien, les pires choses de l’histoire se produisent. Les choses les plus mauvaises de l’histoire moderne ont été commises par des gens qui haïssaient le christianisme », a ajouté le Premier ministre.

« Je connais bien George Soros, c’est mon adversaire. Il ne croit en rien de ce que nous représentons. Il a toute une armée à son service : de l’argent, des ONG, des universités, des instituts de recherche et la moitié de la bureaucratie à Bruxelles », a déclaré Orbán. Selon le Premier ministre hongrois, George Soros “utilise cette armée pour imposer sa volonté à ses adversaires, y compris les Hongrois, estimant que les valeurs qui nous sont chères à tous ont conduit aux horreurs du XXe siècle”. Au contraire, nos valeurs nous évitent de refaire les erreurs de l’histoire », a-t-il ajouté.

 

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