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Les athlètes transgenres aux prochains Jeux olympiques posent déjà des problèmes de contrôle anti-dopage

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La décision du Comité international olympique (CIO) de recommander à toutes les fédérations sportives d’accepter des athlètes transgenres à l’unique condition que leur niveau de testostérone soit adéquat, suscite la controverse au sein de la communauté sportive et  des physiologistes.

Ainsi, les athlètes travestis qui veulent participer aux compétitions féminines doivent simplement suivre des traitements qui freineront la production d’œstrogènes de testostérone, hormone de la masculinité, pour atteindre un niveau inférieur à 10 nanogrammes par millilitre de sang.

Dans le cas des femmes qui veulent participer aux compétitions sportives masculines, on leur permettra d’être traitées avec des œstrogènes endogènes, même si la testostérone synthétique, substance anabolisante est interdite par le Code mondial d’antidopage.

Le contrôle antidopage pourrait s’avérer très difficile en ce qui concerne les sportifs transgenres.

Mais la promotion du nouvel ordre sexuel mondial est à ce prix…

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