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Les injections à ARNm à nouveau remises en question…

Il ne se passe pas une semaine sans que même les médias au collier ne se retrouvent obliger d’évoquer une remise en cause des injections à ARMm, signe que malgré la censure sans égal pratiquée par les Gafam et les injonctions des gouvernements, les effets secondaires sont par trop visibles pour les occulter totalement.

L’agence Reuters, France 24, Ouest-France, Lci, Le Monde, et tant d’autres, n’ont pu cacher ce samedi que les pays scandinaves, Suède, Finlande, Danemark, ont suspendu l’injection expérimentale Moderna pour les hommes de moins de 30 ans, l’Islande l’a suspendue pour tous. Les autorités sanitaires de ces différents pays ont déclaré avoir observé une augmentation de l’incidence de l’inflammation dans le péricarde et le myocarde après la vaccination par Moderna.

Cependant l’Agence européenne des médicaments (AEM) a estimé début juillet que les myocardites et les péricardites (inflammation de la membrane recouvrant le coeur-NDLR) devaient être considérés comme un effet indésirable, survenant en particulier chez les jeunes hommes après l’administration de la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna.

Quand on sait, outre la fait qu’il provoque les mêmes effets secondaires que Moderna, que le vaccin Pfizer est fabriqué sur le même principe à ARNm, on peut donc espérer une interdiction de ce dernier également, par précaution. Et si cette interdiction ne survenait pas, on pourrait alors se demander si un conflit d’intérêt n’existe pas entre le laboratoire Pfizer et les diverses autorités sanitaires tant européenne que des différents pays occidentaux…

Francesca de Villasmundo

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