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« L’islam n’est pas source de terrorisme. L’UE doit accepter les réfugiés »

« L’islam n’est pas source de terrorisme. L’UE doit accepter les réfugiés. »

Paroles claires et nettes prononcées aujourd’hui par l’ange noir de l’Allemagne, madame Merkel à la Conférence sur la sécurité qui se tient à Munich du 17 au 19 février. Paroles qu’aurait pu tout aussi bien proférer le pape François. N’a-t-il pas, d’ailleurs, hier, à l’université Roma Tre dit sensiblement la même chose en affirmant péremptoirement que «Les migrations ne sont pas un danger » et que « il n’existe pas de terrorisme islamique» ?

Merkel-François, ce sont deux agents de la mondialisation qui se complètent : l’homme religieux et la femme laïque unis dans un même combat pour imposer l’invasion sauvage de l’Europe. En obtenant l’aide de tels contraires avec un souci qui plus est de respecter la sacro-sainte parité homme-femme, les élites mondialistes ont frappé un coup magistral pour asseoir leur subversion !

Merkel-François ce sont les deux facettes religieuse et laïque de l’idéologie immigrationniste mortifère qui pousse à la destruction culturelle, ethnique, civilisationnelle, religieuse de l’Europe pour en faire un vaste fourre-tout pour tous les peuples, cultures, religions de la terre entière, invités à venir s’installer et à être chez eux chez nous !

« L’islam n’est pas source de terrorisme. Il est nécessaire a affirmé Merkel d’engager tous les états musulmans dans la lutte contre le terrorisme. » Et « c’est une obligation » pour l’Union Européenne « d’accepter les réfugiés. »

Au cours de sa péroraison, la germanique Merkel a évoqué, en étant sur la même longueur d’onde que l’argentin, d’autres thèmes chers à François, ce qui témoigne bien d’une pensée politique, sociale et économique commune entre les élites mondialistes et bruxelloises et la Rome conciliaire : outre le terrorisme islamiste dont elle a souligné, elle n’est pas à une contradiction près, que l’islam n’en est pas responsable, elle a parlé du fameux “changement climatique” et des flux migratoires massifs. 

Francesca de Villasmundo

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