Site icon medias-presse.info

Première « nuit des barricades » à Paris, Rennes, Nantes et Bordeaux

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Dimanche soir, après l’annonce des résultats du premier tour de l’élection présidentielle, des groupes anarcho-communistes ont appelé à une « nuit des barricades ».

En réalité, ces racailles d’extrême gauche ne cherchaient qu’un prétexte pour susciter des affrontements dans différentes villes.

« Quel que soit le résultat nous ne le reconnaîtrons pas ! », annonçait déjà un « antifa » au milieu d’autres énergumènes rassemblés à la Bastille avant même l’annonce des premières estimations.

Quelques instants plus tard, une petite centaine de manifestants anarcho-communistes masqués ont créé des premiers incidents place de la République. Certains ont brûlé leur carte d’électeur aux cris de « ni Marine, ni Macron« .

Des heurts ont également été signalés à Bordeaux, Rennes et Nantes.

La stratégie de la tension se met en place.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

Quitter la version mobile