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Un pas en avant dans le progrès… du génocide de l’humanité

Pendant que les esprits sont occupés à la guerre en Ukraine et à la reprise paraît-il de la pandémie du méchant covid, le progressisme continue sa marche en avant vers toujours plus de progrès, un progrès synonyme d’avortement, d’euthanasie, de cancel culture, de dépopulation, de « fluidité » de genre, etc.

Ainsi, et ce n’est malheureusement pas un poisson d’avril mais s’il serait de mauvais goût, l’Etat de New York vient d’approuver « l’avortement » post-natal, en clair l’infanticide. Qui plus est avec une « standing ovation » la même que ces politiciens de la bien-pensance ont servie à Zelensky, le président-comédien de l’Ukraine, pendnat son World Tour pour une 3e guerre mondiale.  

En Californie, autre Etat progressiste des Etats-Unis, une proposition de loi est mise sur la table pour légaliser la mort des nourrissons jusqu’à 6 semaines après la naissance.

Et l’OMS,  largement contrôlé et conditionné par le financement des multinationales du médicament et par les fondations « philanthropiques » des suspects habituels telle la Fondation Bill et Melinda Gates, n’est pas en reste dans ce marais des horreurs : dans ses nouvelles directives, l’Organisation mondiale de la santé appelle les pays membres à abroger les lois anti-avortement qui fixent des « limites de gestation » et qui violeraient les droits des « femmes, filles ou autres personnes enceintes » (sic !). L’OMS attaque également l’objection de conscience. 

Les groupes d’avortement se réjouissent. 

Francesca de Villasmundo

  

  

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