Oui, l’idéologie du genre veut encourager les petits garçons à devenir des petites filles et inversement. Bien sûr, c’est tellement hallucinant comme pensée que cela semble absurde et impossible.

Et les politiciens ainsi que les journalistes du système jouent sur les deux tableaux à la fois. D’un côté, banaliser la théorie du genre sous couvert d’ »égalité » et de « liberté ». D’autre part, nier contre toute évidence, avec un aplomb déconcertant.

Médias-Presse.Info a donc décidé de vous livrer les preuves de ce qui se prépare. Nous le faisons en collaboration avec Civitas qui a mis à notre disposition l’importante quantité de documents que cette association collecte en ce moment sur ce sujet.

Aujourd’hui, nous nous intéresserons à un long article publié en 2012 sur le site internet du New York Times. Il est entièrement consacré à des petits garçons que leurs parents envoient à l’école habillés en filles.

Et le journal américain de nous conter avec empathie l’histoire de Susan et Rob qui ont envoyé leur fils Alex à l’école maternelle vêtu d’une robe et ont adressé un e-mail aux autres parents de la classe pour les en avertir. Le mail se terminait par un lien vers un article sur les enfants de « sexe variant ». A 4 ans, Alex se serait senti à la fois « un garçon et une fille ». A 6 ans, il se considère plutôt comme un garçon qui aime parfois s’habiller en fille, peindre ses ongles et jouer à la poupée. Mais d’autres jours, nous dit l’article, il opte pour le genre « garçon » et change d’attitude et de démarche.

Aux Etats-Unis, le phénomène se propage : des parents et des cliniciens encouragent les garçons à porter une robe. Une communauté de l’Internet est même née à ce sujet et serait en plein essor, publiant des photos de leurs fils « transgenres ».

L’article du New York Times prend la peine de signaler que beaucoup de ces parents étaient socialement libéraux avant même qu’ils aient un « pink boy » (expression désignant ces garçons de « sexe variant ») et défendaient déjà la cause des homosexuels et s’interrogeaient sur les limites de la masculinité et de la féminité traditionnelle. Ils étaient donc « prédisposés » et il faut dans ce cas se poser la question logique : ont-ils consciemment ou inconsciemment influencé le comportement de leur fils « transgenre ». La réponse semble évidente.

Comme il fallait s’y attendre, toute une propagande existe déjà à ce sujet pour banaliser ce phénomène. Des études prétendent même  que 2 à 7 pour cent des garçons de moins de 12 ans affiche régulièrement des comportements «transgenres». Ben voyons.

Ces « études » conviennent tout de même que très peu de ces garçons veulent être en réalité une fille.

Pour en revenir au cas d’Alex qui n’est qu’un enfant, ses parents parlent de « l’expression sexuelle » de leur fils et se félicitent de « l’évolution des mœurs » qui aurait permis une plus grande visibilité des homosexuels et des transgenres…

Les cliniciens qui défendent la théorie du genre prétendent qu’être transsexuel peut se comparer à être gaucher : inhabituel mais pas anormal. La comparaison est pour le moins choquante. Mais elle sert de fil conducteur à ces cliniciens pour prétendre que, de même que le monde moderne ne corrige plus les personnes qui écrivent de la main gauche, de même les parents modernes devraient encourager les enfants à assumer leur « identité de genre » ou leur « variabilité de genre ».

Ces théories fumeuses sont abondamment propagées par des sites internet. Et conduisent des adolescents, avec la bénédiction de leurs parents, à ingurgiter des hormones pour changer d’apparence. Pourtant, comment peut-on penser que les adolescents sont assez matures pour prendre de telles décisions qui changeront définitivement leur vie, sans compter que les effets à long terme de ces médicaments ne sont pas connus.

Alors qu’Alex n’est encore qu’un enfant, sa mère envisage déjà tout cela en envoyant son fils en robe à l’école maternelle…

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