A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.
Pourtant, il faut oser le dire et l’écrire, Charlie Hebdo était un journal ordurier. Cette publication se plaisait à dépasser toutes les limites de l’outrance et à choquer pour le plaisir de choquer, mais toujours de la façon la plus odieuse possible.
Charlie Hebdo affectionnait particulièrement d’offenser les croyants par les blasphèmes et les sacrilèges les plus ignobles, avec une obsession manifeste pour la sodomie. Charlie Hebdo ne faisait pas dans le registre humoristique. Charlie Hebdo cherchait à repousser sans cesse les limites de la tolérance de notre société pour le blasphème poussé au paroxysme de l’abject.
Bien entendu, cela n’excuse ni ne justifie le geste des auteurs de l’attentat meurtrier. Mais cela signifie que tout cela était prévisible. Parce que, dans la grande misère de notre temps, Dieu est la seule consolation de beaucoup d’entre-nous, L’offenser avec salacité et perversion entraîne de façon épidermique répugnance et colère.
Encore une fois, répétons-le, cela ne diminue pas l’horreur du geste commis par les terroristes. Mais la nature même des auteurs de cet attentat était prévisible. Il était évident, il faut oser l’avouer, qu’un jour ou l’autre, des islamistes franchiraient le pas. Nos politiciens ne peuvent pas encourager et armer des djihadistes en Syrie pour un calcul à courte vue de renverser Bachar el-Assad et feindre de s’étonner ensuite que ce même islamisme nous revienne avec violence sur notre propre sol.
Revenons-en à Charlie Hebdo. Partout, on nous proclame que ce journal est devenu l’incarnation immortelle de la « liberté d’expression », étendard « sacré » de notre « démocratie ». Ne nous y trompons pas. Si les auteurs de l’attentat avaient visé les bureaux du journal Minute, ou du Front National, il n’y aurait pas eu la même unanimité d’indignation, soyez-en certains.
Ici ou là, parmi ceux qui en appellent à « l’union sacrée » autour des « valeurs républicaines », on s’aventure déjà à pointer d’un doigt accusateur, soit Alain Soral, soit Eric Zemmour, voire les deux à la fois, comme responsables d’un climat délétère.
Mais la responsabilité incombe avant tout à une clique de politiciens et journalistes. Qui ont plongé la France dans un multiculturalisme ingérable, à coups de vagues d’immigration incontrôlées et ininterrompues. Qui ont cherché à détruire le respect pour le sacré hormis quand il s’agit des substitutions de sacré imposées par les lobbies au pouvoir. Qui ont imaginé pouvoir manipuler un djihadisme à l’autre bout du monde et s’aperçoivent qu’on ne joue pas avec des explosifs sans le risque qu’ils vous sautent un jour au visage…
Ni ceux qui s’évertuent à nous présenter Charlie Hebdo et ses plus ignobles blasphèmes comme le modèle de la liberté d’expression et de la liberté de la presse, ni ceux qui s’obstinent à vouloir faire de leur laïcisme républicain la religion universelle de demain, ne peuvent prétendre apporter la paix.
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C’est à vomir.
Totalement injuste envers tous ceux qui sont honnêtes et payent pour tous ceux qui viennent profiter de notre système, nous voler et nous appauvrir.
J’ai honte de ce qu’est devenu mon pays.
Il faut « tout restaurer dans le Christ » (St Pie X), c’est la seule solution pour le relèvement.
Simple question : que fait le gouvernement qui, au lieu de faire son travail de surveillance, préfère racler les retraites des vieux. Ensuite on parle de réduction des déremboursement type homéopathie. Pour quoi payons nous des ministres et des députés qui la plupart du temps ne viennent pas en séance ? Ras le bol : on comprend pourquoi seulement 38 % seulement des gens aiment leurs élus.
… Ou plutôt on se demande comment, avec tout cela, 38% des Français réussissent encore à apprécier leurs élus.
Il faut peut-être ajouter que dans ces 38% se trouvent ceux qui profitent de notre faiblesse…
Ce pays est devenu immonde pour les vrais Français, une véritable décharge publique étrangère. C’est ainsi que beaucoup d’élus achètent les voix des envahisseurs. Comment de vrais Français peuvent être assez stupides pour voter pour eux?
Cela laisse songeur!
nous sommes au courant que les algériens fraude dans notre système pour le piller, car ils ne savent faire que piller la France, mais reste des enfants sans rien développer dans leur chère Algérie, même leurs propres hôpitaux se font voler par eux! et nos fonctionnaires laissent faire car ils servent ceux qui veulent déclencher des guerres civiles….
ceux qui fraudent sont des étrangers car chaque français qui accouche d’un enfant français a automatiquement un numéro de sécurité sociale, et c’est bien les travailleurs français qui financent notre système, qui se fait dilapider par des étrangers qui eux n’ont pas de numéro attribués sauf leurs enfants qui est nés sur notre sol, mais ce n’est pas assez, ils veulent en profiter tous, pourtant ils ont des richesses, gaz et pétrole, que nous n’avons pas, et qu’ils ne continuent pas à mentir, en disant, que le pétrole que la France achète, moins de 10%, n’est pas payé, car c’est faux, et de plus, les comptes des entreprises privées n’ont rien à voir avec les cotisations des salariés français
Eradiquer ce mal ,et virer tous , je dis bien tous , les basanés , souvent barbus et leurs femelles burkinisées qui gangrènent la FRANCE !
Le problème vient de la totale négligence des gouvernements, associée à l’ incompétence, voire une bêtise affligeante et d’une naïveté consternante des cadres des grandes administrations. Moi qui suis expatrié l’exemple le plus frappant est le coup du certificat d’existence. Pour éviter que des expatriés ou des étrangers ayant travaillé en France et soient retourner dans leur pays d’origine « oublient » de déclarer leur décès (par la famille) . Nous devons donc faire signer dans une administration du pays où nous sommes un » certificat d’existence » chaque année, faute de quoi notre retraite n’est plus versée. Quand on a plusieurs caisse de retraite c’est l’enfer chaque caisse envoyant son propre certificat pas en même temps naturellement, bref l’enfer. La fraude peut être facile. Le gugusse qui est retourné dans son pays d’origine à sa retraite et qui connait tout le monde et surtout sa famille a juste à aller à la mairie du coin donne l »certificat » au planton de service avec bien sûr 20 ou 30€ glissés dans la poche……tiens, va me mettre un coup de tampon officiel de la mairie et ramène le papier…….le nom, la signature etc….ne pose évidemment aucun problème……et le tour est joué. On doit continuer à payer des retraites à des gens morts depuis 15 ou 20 ans…!!!!!!! La seule et unique solution serait d’éxiger la présence physique de la personne à l’ambassade, le consulat et faire signer un seul et unique certificat pour tout le monde par un responsable dûment identifié. Après tout on pourrait craindre une corruption d’un employé français. Voilà donc un exemple mais il y en a d’autres.