MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous ne reprendrons pas ici les commentaires multiples qui honorent chaque année le souvenir de la mort tragique du roi et qui rappellent la première grande imposture historique dite “nationale” : l’inique “procès” et l’assassinat déguisé en forme d’exécution du roi par les “représentants” de la monstrueuse mutation de notre pays en “nation” dite française, en devenir.

Si on y réfléchit bien, il s’agit de la première manifestation publique et politique des suppôts de la Grande Loge d’Angleterre recrutés en France, derrière et avec les Encyclopédistes, le prince d’Orléans, etc.
La mort du roi, toute symbolique qu’elle était, allait apparaître d’abord comme la caution de tous les massacres révolutionnaires, des 18 000 guillotinés, des noyés de Nantes, etc., etc.
Voire même du génocide vendéen.
Et bien sûr, au nombre des assassinés allaient figurer la reine Marie Antoinette et madame Elisabeth.

Les tueurs de la nation s’enfoncèrent dans une folie sanglante, dans un vertige de meurtres “légitimes” et légalisés, qui ne s’achèvera – justice immanente – que par la liquidation, toute aussi officielle et légale, de ses instigateurs avec l’exécution des Robespierre, Danton et leurs complices.

C’était la première fois dans l’histoire moderne qu’un tel acharnement se manifestait : la volonté d’éradication systématique de la légitimité royale par la liquidation de toute une famille, l’anéantissement préventif planifié de toute résurgence de la royauté au motif de la continuité.
Et comme on va le voir le sort du roi Louis XVI va faire école… quelques cent trente ans plus tard !

Le seul précédent historique de ce genre avait été l’exécution de Charles I d’Angleterre (30 janvier 1649) par les séides de Cromwell à qui on doit reconnaître la triste paternité des procès politiques dynastiques.

On lui doit aussi, en remerciement de leur appui enthousiaste, le rappel des juifs – négocié par Manoel Dias Soeiro, dit Manasse ben Israël, rabbin kabbaliste originaire de Madère : Cromwell abolit en 1656 le décret de 1290 qui avait expulsé la communauté juive d’Angleterre.
Mais la disparition du roi n’avait pas mis un terme à la continuité dynastique, sa famille ayant été préservée, et la monarchie fut rapidement restaurée en Angleterre.
Elle s’y maintient toujours aujourd’hui, forte d’une indéniable ferveur populaire.
Le souvenir des massacres de Cromwell a mis durablement l’Angleterre à l’abri de la république !

En cette année de commémoration du centenaire de la Grande Guerre, il n’est pas inutile de rappeler que la Grande Guerre s’est cristallisée autour de deux protagonistes : Triple Entente contre Triple Alliance.
Et soyons clairs, aucun historien, aucun commentateur, n’oserait aujourd’hui soutenir que les armées des empereurs François Joseph et Guillaume II n’avaient pas l’avantage.
Jusqu’en 1917, les armées alliées purent limiter les dégâts grâce à l’existence du fameux front de l’est qui mobilisait nombre de régiments austro-allemands qui auraient permis d’emporter la victoire s’ils s’étaient déployés sur le front occidental.
Dans ce contexte l’avènement de la révolution russe, et surtout la paix de Brest-Litvosk furent ressenties comme une catastrophe pour les armées de l’ouest… Mais pas du tout par nos politiques !
(L’avènement de la révolution russe était annoncé à la Chambre, par Clemenceau, dès août 1916 !)

Le communisme soviétique a été initialement financé par les cercles financiers juifs, mais aussi soutenu par des loges maçonniques, notamment celles dépendant ou ralliées au « Grand Orient », obédience devenue athéiste depuis le passage d’Adolf Crémieux, et, pour ce fait, exclue de la maçonnerie régulière par la Grande Loge d’Angleterre.

Winston Churchill, souligne dans un article publié dans l’édition du 8 février 1920 de l’Illustrated Sunday Herald que le Bolchevisme était «une conspiration à l’échelle mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base de l’arrêt du développement [économique], de la malveillance envieuse, et de l’impossible égalité».
Il poursuit :
« Il n’y a pas de raison d’exagérer la part jouée dans la création du Bolchevisme et l’apport réel à la Révolution Russe de ces Juifs internationaux, et pour la plupart, athées. Elle est certainement très grande et dépasse probablement en importance toutes les autres. »

A l’exception notable de Lénine (Vladimir Oulyanov), pourtant un quart juif par son grand-père maternel Israël Blank, la plupart des dirigeants communistes qui prirent le contrôle de la Russie en 1917-1920 étaient des Juifs.

Léon Trotsky (Lev Bronstein) fut le chef de l’Armée Rouge, et pendant un temps, fut le responsable des Affaires Etrangères des Soviets.

Yakov Sverdlov (Yankel Solomon) était à la fois le Secrétaire de l’Exécutif du Parti Bolchevik et — en tant que président du Comité Central Exécutif — chef du gouvernement des Soviets.

Grigory Zinoviev (Radomylsky) dirigeait l’Internationale Communiste (Komintern), l’agence centrale pour répandre la révolution dans les pays étrangers,

le Commissaire à la Presse, Karl Radek (Sobelsohn),

le Commissaire aux Affaires Etrangères Maxim Litvinov (Wallach),

Lev Kamenev (Rosenfeld),

Moisei Uritsky

pour ne citer que les principaux commissaires politiques juifs nommés alors…


– Sur les 22 membres du «Sovnarkom», il y avait trois Russes, un Géorgien, un Arménien, et 17 Juifs.
– Sur les 61 membres du Comité Central Exécutif, cinq étaient Russes, six étaient Lettons, un était Allemand, deux étaient Arméniens, un était Tchèque, un était Imeretian, deux étaient Géorgiens, un était un Karaïm, un était Ukrainien, et 41 étaient Juifs.
– Sur les 36 fonctionnaires dirigeants de la Tchéka, un était Polonais, un Allemand, un Arménien, deux Russes, huit Lettons, et 23 étaient Juifs.

Chez tous ces gens, l’idéologie jacobine est très prisée.
L’exemple français est dans toutes les têtes des idéologues et des chefs des soviets, tout comme l’échec du Commonwealth d’Angleterre du temps de Cromwell.

Très vite une idée s’impose, même si certains osent dire aujourd’hui, pour préserver sa légende, que

« Lénine n’était pas au courant et n’a donné aucun ordre » alors qu’on a des témoignages directs et accablants : il faut liquider toute la famille du Tsar pour asseoir la révolution, tout comme les Français l’ont fait avec la famille du Roi !

La liste des massacres est longue !

Du 13 juin 1918 au 28 janvier 1919, dix-huit membres de la famille impériale seront assassinés, parfois dans d’atroces conditions.

Le premier fut Michel Alexandrovitch de Russie…

L’éphémère dernier tsar de toutes les Russies!
Grand-duc de Russie, héritier présomptif du trône de 1899 à 1904, pendant une période où l’empereur Nicolas II n’avait pas encore d’héritier mâle, il fut aussi membre du Conseil d’État (1901), membre du Conseil des ministres (1902), inspecteur général de cavalerie (19 janvier 1917), général de division de l’armée impériale de Russie pendant la Première Guerre mondiale.
Il a été brièvement empereur sous le nom de Michel II entre le 15 et le 16 mars 1917, après l’abdication de son frère Nicolas II.

Le grand-duc Michel fut le premier membre de la famille impériale à être assassiné, le 12 juin 1918 à Perm dans l’Oural, extrait de son hôtel puis liquidé par deux sbires…

C’était trois semaines avant l’assassinat de son frère aîné, le tsar Nicolas II et de sa famille, le 17 juillet 1918, dans l’entresol de la maison Ipatiev à Ekaterinbourg, avec les fidèles qui l’accompagnaient dans son exil : le Dr Evgueni Sergueïevitch Botkine, Anna Stepanovna Demidova, Alekseï Egorovitch Trupp et Ivan Kharitonov.

Ce massacre, comme le confirme Trosky dans son journal, a eu lieu sur ordre express de Lénine.

L’exécuteur en fut le super intendant Ioukov Iourovski, huitième enfant d’une famille juive orthodoxe.

Son père travaillait comme vitrier, sa mère comme couturière.

Au début de 1918, profitant de la prise du pouvoir par les Bolcheviks, il est élu député régional et est nommé Commissaire de justice. Il rejoint la Tchéka régionale et en devient l’un des chefs.

Au début de juillet, il obtient le poste de commandant en chef de la villa Ipatiev et sera chargé du massacre de la famille impériale.
Selon la relation qui en est rapportée :

« Les tirs ont eu lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui mourut sur le coup. Les autres bourreaux tirèrent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampa vers la porte, et le Commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonça le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes, Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria (dont les diamants cousus dans leurs vêtements avaient servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement car leurs cris pouvaient être entendus de l’extérieur ! Les corps seront placés dans des draps, conduits en camion dans une fondrière à quelques kilomètres de là, et brûlés à la chaux vive et au vitriol.
Les corps n’étant pas complètement dissous à l’aube, les bourreaux revinrent la nuit suivante. »

Igor Shafarevitch, mathématicien russe mondialement connu, célèbre dissident, défenseur de Sakharov écrivit dans son livre « La Russophobie » :
« Cette action rituelle symbolisa la fin de siècles d’histoire russe, de telle manière qu’elle peut être comparée seulement à l’exécution de Charles 1er en Angleterre et de Louis XVI en France.

On s’attendrait à ce que les représentants d’une minorité ethnique insignifiante se tiendraient aussi loin que possible de cette action cruelle, qui se répercuterait dans toute l’Histoire.
Or quels noms découvrons-nous ?

L’exécution fut personnellement surveillée par Yakov Yurovsky qui abattit le Tsar, le président du Soviet local était Beloborodov (Vaisbart) ; la personne responsable pour l’administration générale à Ekaterinburg était Shaya Goloshtchekin.

Pour compléter le tableau, sur le mur de la pièce où eut lieu l’exécution fut trouvée une citation d’un poème de Heinrich Heine (écrit en allemand) sur le Roi Balthazar, qui « offensa Jehovah et fut tué pour cette offense ».

En effet le fait que quelqu’un ait cru bon de l’écrire sur un des murs de la chambre du massacre est hautement symbolique !

C’est ce que souligne Shafarevitch…
L’inscription dit :
«Belsatzar ward in selbiger Nacht / Von seinen Knechten umgebracht», c’est-à-dire «Belsatzar fut, la même nuit, tué par ses esclaves.»

L’allusion est limpide : Belshazzar, roi non-juif de Babylone, vit «l’inscription sur le mur» annonçant sa mort (Livre de Daniel, 5). Pour la bible, il fut tué en punition de ses offenses au Dieu d’Israël.
En jouant habilement de la citation de Heine, l’auteur inconnu de l’inscription, visiblement l’un des tueurs, a substitué «Belsatzar» à l’orthographe initiale de Heine «Belsazar», pour signaler encore plus clairement son intention symbolique.
Cette inscription de Heine révèle l’inspiration raciale et ethnique des meurtres :

Un roi non-juif venait d’être tué, en un acte revendiqué de vengeance juive !

Le 15 août 2000, l’Église orthodoxe russe annoncera la canonisation des Romanov pour « son humilité, sa patience et sa douceur ».
Le 1er octobre 2008, la Cour suprême de la Fédération de Russie se prononce « pour la réhabilitation et estime que Nicolas II et sa famille ont été victimes de la répression politique ».

Dans la nuit du 17 au 18 juillet, donc le même jour, à Alapaievsk, (Oural) 5 autres princes de la famille impériale et la grande-duchesse Elisabeth Fiodorovna, sœur de la tsarine Aleaxandra, une autre religieuse et le secrétaire du prince, seront jetés blessés mais vivants dans un puits de mine où ils décèderont, plusieurs jours plus tard, morts de faim ou des suites de leurs blessures.

Sous prétexte de transférer les prisonniers d’Alapaïevsk vers l’usine Verkhine-Sinyatchikhinsky, un groupe de travailleurs dirigé par Piotr Startsev arriva à l’école Napolnaya où étaient gardés les prisonniers.

Vasili Ryabov, l’un des conspirateurs, en a fait cette relation :
« Nous sommes entrés dans le bâtiment de l’école, au travers d’une porte verrouillée, nous réveillâmes deux femmes et nous leur intimâmes l’ordre de s’habiller immédiatement car elles devaient être emmenées dans un endroit sécurisé, car, en ce lieu, il y avait un risque d’un raid armé.
Elles obéirent sans un murmure. Nous leur avons attaché les mains derrière le dos et bandé les yeux, nous les avons escortées, nous les fîmes asseoir dans une charrette qui les attendaient devant l’école. Puis nous sommes entrés dans la chambre des hommes. Nous leur avons dit la même chose.

Le prince Ioann Konstantinovitch, le prince Paley ont obéi sans opposer de résistance. Nous les avons emmenés dans le couloir, nous leur avons bandé les yeux, lié les mains et nous les fîmes asseoir dans une autre charrette. Le grand Sergueï Mikhaïlovitch fut le seul à résister »

Le grand-duc Segueï Mikhaïlovitch reçut une balle dans le bras et rejoignit les autres détenus dans la seconde charrette. Les prisonniers furent emmenés hors de la ville vers l’une des mines abandonnées et après leur avoir asséné un coup derrière la tête, ils furent jetés dans la mine, puis il leur fut jeté des grenades, des poteaux, des rondins, certains sont restés en vie après leur chute, ils moururent des suites de leurs blessures et de faim.
Ainsi la blessure du prince Ioann, tombé à proximité de la grande-duchesse Elizaveta Fiodorovna, fut pansée avec son voile de religieuse, le corps du prince Paley fut retrouvé dans une position assise. Les paysans des environs entendirent des chants religieux venant des profondeurs de la mine.

La décision d’exécuter les prisonniers d’Alapaïevsk fut prise uniquement par le Parti Bolchevik d’Alapaïevsk, sans en référer au Parti communiste de l’Union soviétique.
Toutefois, le tchékiste Piotr Konstantinovitch Startsev indique que les exécutions de la plupart des prisonniers à Ekaterinbourg furent ordonnées par le membre du Présidium du Comité régional de l’Oural, Georgi Ivanovitch Safarov (Safarian).

Le 1er novembre 1981, les martyrs d’Alapaïevsk (à l’exception de Fiodor Semionovitch Remez) furent canonisés par l’Église orthodoxe russe de l’étranger.

La grande-duchesse Elizaveta Fiodorovna et la religieuse Varvara Yakovleva furent glorifiées par le Conseil des évêques de l’Église orthodoxe russe comme martyres :
« La grande-duchesse Elizaveta Fiodorovna, fondatrice du monastère des Saintes-Marthe-et-Marie à Moscou, a consacré sa pieuse vie chrétienne à la charité, à l’aide aux pauvres et aux malades. Avec la nonne Varvara Yakovleva, elle mourut en martyre le jour de Saint Serge Radonège 5 juillet (vieux style) 1918. »
Le 8 juin 2009, le procureur général de Russie réhabilita les martyrs d’Alapaïevsk à titre posthume :
« Toutes ces personnes ont été victimes de la répression sous la forme d’arrestation, de déportation et furent soumis à une surveillance des organes du KGB sans raisons »

Et ce n’est hélas pas encore fini…

Le 29 janvier 1919, dans la forteresse de Pierre-et-Paul à St-Pétersbourg, les grands-ducs Georges, Nicolas, Dimitri et Paul sont exécutés….

Le grand-duc Paul et ses cousins seront inhumés en secret dans une fosse commune sous une dalle de béton dont le lieu reste encore inconnu à ce jour.
Leurs dépouilles ne seront jamais retrouvées.
En 2007, au cours de travaux entrepris dans l’enceinte de la forteresse Pierre-et-Paul, le hasard à permis de mettre au jour des ossements humains. Encouragé par cette découverte, l’archéologue russe, Vladimir Kildiouchevski dirigeant les fouilles a déclaré :
« Selon des témoignages sûrs, quatre grands-ducs Romanov ont été exécutés en 1919 dans la forteresse Pierre-et-Paul. Les restes de Georgui Mikahïlovitch, Nikolaï Mikhaïlovitch, et Pavel Alexandrovitch se trouvent probablement parmi ceux que nous avons trouvés».

La présence de tous ces corps traduit en tous cas l’existence là de massacres de plus grande ampleur !
L’archéologue mandaté par le musée d’Histoire de la ville de Saint-Pétersbourg déclarera : « Aujourd’hui nous essayons de déterminer qui exactement a été exécuté ici et il faut continuer les recherches ».
A ce jour, aucune certitude n’est hélas avérée.

Au total, moins de cent ans après les faits, les Romanoff martyrs, retrouvés et identifiés, ont tous été réhabilités par le gouvernement russe et béatifiés par l’Eglise orthodoxe

Aux emplacements de tous ces massacres, des monuments ont été érigés – comme la Cathédrale du Sang Versé construite à l’emplacement de la maison Ipatiev – et des plaques apposées.
La monarchie aujourd’hui jouit à travers les livres d’histoire d’un prestige considérable. La plupart des cathédrales et grands monastères ont été reconstruits ou réhabilités et la religion orthodoxe a retrouvé toute sa place !

« Le mur du chagrin »

La Russie sait faire amende honorable : reconnaître dénoncer les crimes de la révolution et du régime soviétique.

Aucune commémoration officielle n’a été prévue à l’occasion du centenaire de la révolution !

Poutine a su aller encore plus loin avec l’inauguration le 30 octobre, en présence du patriarche Kyrill de Moscou, du monument « Mur du chagrin » au cœur de la capitale : la dénonciation et la condamnation sans équivoque de tous les crimes soviétiques depuis la révolution, et ceux du stalinisme, figuré par un mur de bronze de 30 m sur 6 m de haut, fresque évoquant, fondues les unes dans les autres, 500 silhouettes figurant les âmes des victimes du régime soviétique.

https://fr.rbth.com/lifestyle/79400-mur-du-chagrin-moscou-memoire-victimes-repressions-politiques

Pourtant certains fanatiques persistent !

Il en existe encore en Russie des admirateurs des massacreurs, même dans la mouvance gouvernementale : quelques milliers de personnes sont venues défiler sur la Place rouge…

On a même vu un petit cortège à Berlin parcourant les rues en costumes supposés d’époque autour d’un vieux char russe traîné sur une plate-forme…

https://www.breizh-info.com/2017/11/08/81395/communistes-berlin

<

p style= »text-align: justify; » align= »JUSTIFY »>Il y a encore en France des admirateurs de Robespierre, et des apologistes des assassins bolchéviques de Moscou. Voire même des négationnistes :

http://www.gauchemip.org/spip.php?article5151

Après tout l’exemple vient de loin : il est connu qu’il n’y a pas eu de massacre à Der Yassim selon le professeur Tauber qui rédigé « un livre pour le démontrer »!

https://jssnews.com/2017/07/18/prof-eliezer-tauber-il-ny-a-jamais-eu-de-massacre-a-deir-yassin/

La Russie renait sur les décombres du communisme !

Comme l’annonçait déjà il y a quinze ans le Prince Sixte Henri de Bourbon Parme dans une interview donnée au Libre Journal à son retour de Saint Petersbourg où il avait été convié aux fêtes commémoratives du tricentenaire de sa fondation en 2003 :

« Nous assistons à la reconquête par les Russes de leur propre histoire occultée par le marxisme, de leur religion éradiquée par le régime communiste qui a détruit plus de 80 % des édifices du culte, et de leurs traditions et de leurs diversités interdites au nom d’un égalitarisme impitoyable. On réalisera un jour, que malgré les blessures si difficiles à cicatriser qu’elle conserve, pour la Russie, c’est le communisme qui, à l’échelle historique, aura été un épiphénomène ! J’ai la conviction que, de ce point de vue, le tsarisme sous une forme non autocratique a toutes les chances de retrouver sa place en Russie: c’était le type de régime qu’avait d’ailleurs préparé Nicolas II qui ne put mener à bien la suite de ses réformes à cause de la révolution qui coûta la vie à toute sa famille et à des dizaines de millions de personnes de son peuple. »

http://www.vexilla-regis.com/textevr/Le%20tsarisme%20non%20autocratique.htmlaude

Claude Timmerman

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

19 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
Pierre Mary de Montamat
Pierre Mary de Montamat
il y a 3 années

Oui, je réponds oui à votre question.

Ils sont prêts à laisser les gens crever de misère, c’est même ce qu’ils recherchent. Tout va tenir à ca dans les prochains jours : quelle sera la portée de ces refus !!!!

Et pendant ce temps là, il y a de plus en plus de migrants, on en parle pas, mais il y a une augmentation de 60% sur le 1° semestre 2021 par rapport à 2020. Ces gens viennent pour agresser nos femmes, nos filles et nos enfants en quasi-impunité et profiter de la planche à billet de l’UE !!! Désastre…

swz
swz
il y a 3 années

Les clandestins ne sont pas concernés par le « vaccin » obligatoire , le pass sanitaire et tous les tracas réservés aux Français de souche! Micron prépare tranquillement la disparition des « souchiens » pour les remplacer par des clandestins, une fois que son poison obligatoire aura décimé tous les « souchiens »! Un génocide en cours!

gauloise réfractaire
gauloise réfractaire
il y a 3 années
Répondre  swz

Oui c’est vrai, mais maintenant on le sait, et ça change tout. Maintenant on va se battre et on sait pour quoi et pour qui on doit prier.

Saint-Plaix
Saint-Plaix
il y a 3 années

Qu’ils aillent- jusqu’au bout surtout : c’est le seul moyen de faire reculer la tyrannie des médicocrates et la meilleure protection des Français aujourd’hui confinés en Macronie contre l’hystérie vaccinale.

swz
swz
il y a 3 années
Répondre  Saint-Plaix

Micron a décidé de pourrir la vie des non vaccinés! C’est à nous suite aux actions du personnel soignant de nous joindre à eux pour pourrir la vie de Micron et de sa clique par toutes les actions imaginables!

Zizou
Zizou
il y a 3 années

Plutôt que de démissionner, qu’ils se fassent mettre en arrêt-maladie jusqu’à ce que ce cirque soit fini.
Si quelques dizaines de milliers de médecins, soignants, pompiers, etc. agissent ainsi, la tyrannie devra vite déclarer forfait !

Saint-Plaix
Saint-Plaix
il y a 3 années
Répondre  Zizou

Que de naïveté! Il existe’ aujourd’hui une majorité de médecins complices de cette mascarade, par lâcheté ou par l’appât du gain (primes des laboratoires) S’il existe encore des médecins dignes de ce nom, la majorité de la profession n’est absolument plus fiable: l’insupportable battage vaccinal dont ces médecins sont complices, sinon directement acteurs, le montre!
En d’autres temps, le Concile nous a montré qu’en matière de catholicité il fallait apprendre d’abord se méfier des évêques! Aujourd’hui la propagande vaccinale covid, et le refus de soins qui va avec, nous montre qu’en matière de santé il faut d’abord apprendre à se méfier des médecins!

swz
swz
il y a 3 années
Répondre  Zizou

Les médecins, complices et collabos de la tyrannie et terreur sanitaires!

SEURET
SEURET
il y a 3 années

Jamais je n’aurais imaginé qu’un président français, même si après de Gaulle nous n’avons pas eu des hommes de Valeur pour occuper ce poste, puisse se conduire de la sorte, j’en ai pourtant vu et entendu dans le monde politique !
Il y a eu Deschanel qui semble t’il a connu quelques problèmes mais il n’était pas vicieux…
Là nous avons à faire avec un pervers narcissique, doublé d’un psychopathe dangereux , il n’y avait qu’à voir ses yeux lors de son allocution. Pour moi c’était l’incarnation du diable, avec tout le mépris que cet individu montrait pour le peuple, comme s’il voulait de venger de la déculottée que lui sa clique et son parti croupion ont ramassé aux dernières élections. J’ai vu dans ses yeux cette jouissance à annoncer tout le mal qu’il souhaitait à ceux qui ne voulaient pas recevoir une injection létale, tout en prenant les autres, les trouillards maladifs pour des imbéciles, de facto. Or il doit suivre la feuille de route qui lui a été donnée par l’oligarchie qui l’a amené au pouvoir (être élu avec 19% des voix de la masse des électeurs n’est pas forcément glorieux sauf pour un pantin).et appliquer sans état d’âme (son regard satanique) un plan de destruction massive.
Je devrai regarder le défilé du 14 juillet qui montrait jadis le pays réel, or je n’ai rien regardé j’étais écœuré, le 14 juillet 2021 de la macronie n’était pas le mien! ne pouvait être le mien ! Ce n’était pas ma République, ce n’était plus ma France.
J’espère que le peuple français va se réveiller pour chasser ce tyran et sa clique.
Que Dieu nous aide !

buzuk
buzuk
il y a 3 années
Répondre  SEURET

Rien à ajouter si ce n’est que tous nos soignants et pompiers et tous ceux qui voudront bien se joindre à eux, tiennent bon : nous n’avons plus que la rue pour contrer ce ramassis de criminels qui ont usurpés le pouvoir.
Et cette « droite » imbécile qui suit ce petit dictateur, perdant ainsi toute crédibilité….. quelle honte, quelle tristesse, quel gâchis !

swz
swz
il y a 3 années
Répondre  buzuk

Il faut inclure MLP parmi les complices de cette tyrannie! Elle s’est courageusement abstenue de voter lors du vote sur le pass sanitaire! Philippot, malgré ses défauts a plus de c****** que cette écervelée de fille à papa!

Marie
Marie
il y a 3 années
Répondre  SEURET

Les grands discours sont toujours de grande ignorance . vous devriez apprendre la vraie histoire celle de la république dite française. Auto constituée , auto proclamée ( révélation du député Fockney) , son génocide ( lui étant un vrai) vendéens 600 000 morts jusqu’à être dépecés de leur peau , une organisation de maçon sous le contrôle judeo kabbaliste qui perdure depuis 200 ans. Et puis savez vous que la république est une société avec un vrai Siret 100000017…..mais la ça risque de vous dépasser ! Pour ce qui est de de Gaulle : il avait dit lorsqu il était planqué a Londres « . Je demanderai la nationalité anglaise si nous perdons la guerre  » ( déclaration Adrien abauzit avocat) …que croyez vous mr…..dieu a créé la terre pas ce monde / démon.

swz
swz
il y a 3 années
Répondre  SEURET

La République a été toujours contre la France! Parler de » ma République « , quelle naiveté!

portier
portier
il y a 3 années
Répondre  SEURET

Merci seuret de ce que tu as écris j’y adhère à 1000% !!!!

campellli
campellli
il y a 3 années

Suite logique des choses, écrémage de la dissidence chez les travailleurs commence, à suivre les enseignants et tous les acteurs complices de la souffrance des enfants et personnes âgées depuis 17 mois déjà (combien ont-ils supprimés de Vies ?)
Le fascisme ne garde que les bons esprits (ici startup nation qui se lèvent très tôt).
On a ce que l’on mérite d’avoir disent les enfants …
Luttons ensembles jusqu’au bout contre ce méchant bon gros Virus puisque c’est bien ça l’idée, non ?

Popeye
Popeye
il y a 3 années

Imaginez un seul instant que ce soit un Philippot ou une MLP qui ait donné ces directives !!!
Si vous n êtes pas vaccinés…pas de salaire!!!! Si vous n etes pas vaccinés 45000 € d amende!!!! En un mot si vous n êtes pas vaccinés pas de travail pour vous
Ping Pong II n aurait pas été meilleur
Mais ça paraît normal…

Soupape
Soupape
il y a 3 années

[ Titre trouvé hier dans « Le parisien » ]
(rubrique le grand parisien)

[ Non vaccinée, … elle craignait d’être licenciée : ]
[ les policiers qui l’ont empêchée … de sauter du pont … racontent ]

1 – Voilà l’un des effets … des annonces de « canmor »

2 – « canmor » est FOU ;
il ne faut pas se laisser entraîner dans SA folie.
il faut le déposer.

3 – « canmor » nous demande de jouer à la roulette russe :
en effet, la bibine qui sert de thérapie génique est dangereuse :
elle provoque des thromboses, etc …
exemple : un jeune étudiant en médecine en est mort …

4 – « canmor » veut nous faire jouer … à la roulette russe … ! …

 » Dans le doute, abstiens – toi « , dit le Proverbe

Daniel PIGNARD
Daniel PIGNARD
il y a 3 années

Mais la liberté est elle aussi protégée par la Constitution :
ART. 2. — Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
ART. 4. — La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui.
Un homme ne nuit pas à autrui en entrant dans un lieu public. Seul un homme symptomatique d’une maladie nuit.
Or combien d’hommes sains vont-ils être privés de leur droit constitutionnel ?
La charge de la preuve est à ceux qui nous accusent de nuire à autrui. Elle est donc à la charge de l’Etat. (pas de facturation des tests PCR)
En temps que responsable d’assemblée, on est donc en droit de résister à l’oppression de l’Etat et d’invoquer la non nuisance à autrui jusqu’à plus ample informé, ceci afin de garantir la liberté auquel a droit tout homme qui entre dans ton assemblée selon ce que le demande la Constitution par l’article 2 des droits de l’homme de 1789.
Se contenter de poser des questions sur les symptômes éventuels (température, perte du goût ou de l’odorat). Les hôpitaux font ça actuellement et certains mettent une caméra de vérification de température du front à l’entrée.
Ces précautions montreront que l’on ne traite pas la question par dessus la jambe mais que l’on a mis les moyens suffisants pour garantir la communauté.

Proverbes 28:1
« Le méchant prend la fuite sans qu’on le poursuive, Le juste a de l’assurance comme un jeune lion. »