Biotech USA est un des plus grands laboratoires de biologie au monde. Ses chercheurs sont atteints de ce qui est appelé aux Etats-Unis le God Syndrom, c’est-à-dire la maladie des chercheurs qui se prennent pour Dieu. Ce sont des transhumanistes comme ceux de l’Institut de futurologie d’Oxford, référence mondiale en la matière. De part et d’autres ils travaillent à une prolongation de la vie de multiples façons. Une d’entre elle fait dresser les cheveux sur la tête. Il s’agit de mettre au point un médicament qui modifie le sens du temps et donne une impression de damnation éternelle.

Un récent article du Daily Mail présente les travaux du Dr Rebecca Roache résumables en une seule ligne qu’elle a écrite par elle-même. «La condamnation d’un criminel à 1000 ans dans un enfer artificiel pourrait un jour devenir une réalité. » Selon les chercheurs, ce jour-là pourrait être proche.

Cette recherche est promue à Oxford par ce médecin philosophe d’Oxford (blog : Practical Ehics).

Entre autres, cette mouvance considère que la prolongation de la vie humaine n’a pas d’intérêt. Il définit un point appelé Singularity qui interviendrait en 2045. La machine sera alors plus intelligente que l’homme. Ce sera alors le monde des cyborgs, mélange de robots et d’hommes. Par ailleurs les projets d’intelligence artificielle effectués par IBM et Neuropolis en Suisse auront abouti (voir sur ce sujet mon ouvrage L’Ultime Transgression ed. de Chiré). Ce serait alors la domination mondiale de la machine et la fin de l’espèce humaine. Une préfiguration est donnée par les drones dont le coût s’effondre littéralement et qui sont capables d’être dirigés par la pensée.

Le Dr Rebecca Roache et son équipe voudraient corriger les peines des personnages les plus effroyables. Elle s’appuie sur le cas d’un ravissant petit garçon prénommé Daniel qui a été torturé de manière horrible puis tué par ses parents. La peine qui a été infligée à ces personnes a été de 30 ans ce qu’elle trouve ridiculement bas et c’est vrai. D’où l’idée de condamner ce genre de personnes à une peine éternelle. Celles-ci pouvant être infligée par des médicaments entraînant des souffrances dignes de l’enfer notamment en modifiant pour elles la notion du temps car elles donnent l’impression qu’il se prolonge. Ce sera donc une modification de la perception de la durée. Ceci améliorerait alors l’arsenal des peines judiciaires et serait très économique. Il y aurait bien sûr une progression de la durée de ce « traitement », une sorte d’aménagement au cas par cas. Les grands criminels comme Hitler pourraient être condamnés à mille ans de souffrances infernales. Ceci pourrait s’appliquer en milieu carcéral ou non. Pour appliquer cette idée, le Dr Rebecca Roache compte sur Biotech pour mettre au point le « médicament » adéquat.

La question que se pose alors est simple : est-ce que en voulant condamner un monstre comme Hitler, on ne va pas en pratique utiliser ses méthodes ?

Aussi incroyable qu’il puisse en apparaître, des millions de dollars sont utilisés aux recherches ayant pour but de brouiller la conscience notamment par des puces informatiques implantables. De quoi tuer l’espèce humaine.

Jean-Pierre Dickès

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