Le nouveau maire de New York, Bill De Blasio, a participé à un défilé alternatif de la St Patrick afin d’affirmer son appui au lobby LGBT auquel les organisateurs du défilé officiel (le 17 mars) avaient interdit de participer avec leurs drapeaux.
De Blasio qui appartient au parti démocrate américain, a prévu de boycotter le défilé qui se tient chaque année sur la Vème avenue, et s’est joint le dimanche 2 mars, avec des membres de son équipe municipale et Melissa Mark Viverito, présidente du Conseil de New York, à la célébration de la “St Patrick pour tous” dans le Queens.
Le défilé, célébré pour la première fois en 2000, cherche à être l’alternative à la classique marche qui a lieu à Manhattan. Les organisateurs ont souligné sur leur site web que ce défilé prétend célébrer l’héritage irlandais de la ville indépendamment de “la race, le genre, les croyances ou l’orientation sexuelle” des participants.
“St Patrick pour tous” est né comme une alternative communautariste au refus de l’organisation de la traditionnelle parade du 17 mars de permettre aux homosexuels de porter leurs bannières et symboles les identifiant en tant que tels.
Le nouveau maire avait annoncé le 4 Février dernier qu’il ne participerait pas à la manifestation populaire pour montrer son «désaccord avec les organisateurs de la parade d’exclure certaines personnes de cette ville. »
Ce sera la première fois en vingt ans que le maire de la ville de New York ne participera pas à la parade de la St Patrick qui remonte à 1762 et est l’un des moments les plus festifs d’ une ville où l’influence de l’immigration irlandaise est très forte depuis des siècles.
Les organisateurs ont répété que la parade n’était pas anti-gay, mais ce qu’ils veulent, c’est que leur défilé ne soit pas détourné de ses objectifs et que tout soit fait pour honorer Saint Patrick. C’est déjà trop demander pour le lobby homosexuel égocentrique.
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bientot plus de viande angaise, le wisky taxé pour entrer en europe, la bourse ce recenter sur Paris, l’angais n’est plus la langue de l’EU…..
« le président du Parlement, John Bercow »
1. Le Parlement est composé de la Très-Excellente Majesté de la Reine, des Pairs Spirituels et Temporels et des Représentants élus des Roturiers. C’est évidemment la Reine qui préside le Parlement depuis le Trône qui se trouve dans la Chambre des Pairs.
2. La chambre montrée est bien celui des Pairs, et c’est pour cela que l’annonce commence, comme on entend clairement, avec « My Lords ».
3. On a vu la personne qui fait l’annonce se lever du Sac de Laine, remplie de nos jours de laine australienne, placé sur le sol devant le Trône comme siège du Lord Chancelier qui préside la Chambre des Pairs en l’absence du Souverain, c’est-à-dire normalement ; à la fin, cette personne, qui est évidemment ou bien le Lord Chancelier lui-même ou bien son député, s’y assied de nouveau.
4. La chambre des Roturiers est présidée par son Speaker, élu par les députés d’entre eux. Actuellement, c’est ledit Mr. John Bercow.
5. Depuis la révolution anglaise avec la décollation de Charles Ier, le souverain n’entre plus dans la Chambre des Roturiers. Quand la reine ouvre une séance du Parlement depuis le trône dans la Chambre des Pairs, elle envoie son serviteur dans ladite Chambre (« un autre lieu » en langage parlementaire), l’Huissier de la Vergette Noire, convoquer les Roturiers dans la Chambre des Pairs pour écouter le Discours depuis le Trône, dans lequel elle va lister les projets de loi pour la séance à venir. Quand l’Huissier tape avec sa vergette sur la porte de la Chambre des Roturiers, on la lui ouvre, puis la lui claque au nez, ceci deux fois de suite ; la troisième fois [cf. ‹La flûte enchantée› (et ‹enchanteresse›)] il peut entrer et donner son message, sur quoi le Speaker et quelques autres députés le suivent dans la Chambre des Pairs pour écouter le discours de la reine.
6. « La Chambre des Communes » est une traduction inadmissible de ‹The House of Commons› ; voir en haut.