MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

En une seconde, un rassemblement pacifique et populaire venu chahuter Emmanuel Macron lors de son passage sur les Champs-Elysées se fait gazer et matraquer par la police républicaine, garde prétorienne du régime.

YouTube video player

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

3 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
bgousson
bgousson
il y a 2 années

Ce que ne vous dites pas, c’est qu’un CRS se prend un poing dans la figure. C’est bien normal qu’ils gazent pour se dégager de l’agresseur et c’est encore bien normal qu’ils l’attrapent.

skear
skear
il y a 2 années

Belle droite ! réponse adaptée selon moi

La Houppelande
La Houppelande
il y a 2 années

Avez-vous réellement regardé la vidéo avant de la commenter ?

D’abord, la police n’est pas plus républicaine que l’armée. Elle fait simplement son devoir qui consiste entre autre à maintenir la stabilité de l’Etat en place, que ce soit une monarchie, une république ou autre. Remarquez que la police est tout à fait pacifique jusqu’à qu’un manifestant à sale gueule et habillé à la manière d’un antifa de bac à sable en manif s’en prenne sans raison à un des policiers. La réponse des policiers est parfaitement adaptée à la situation et c’est d’ailleurs celle qu’on leur souhaiterait voir appliquer plus souvent notamment dans tel ou tel quartier. J’espère même que l’individu a écopé d’une amende pour atteinte aux forces de l’ordre. La violence n’était gratuite que d’un côté.