Cela se passe dans la France laïque et laïcarde, qui prône la tolérance à tout bout de champ et l’inclusion perpétuellement.
Tout la bien-pensance s’insurge parce qu’un élu de Bourgogne demande qu’une femme musulmane, portant le hijab, sorte du Conseil régional, une manifestation pleurnicharde et victimaire fleurant bon l’islam radical défile dans les rues parisiennes, et pendant ce temps-là une religieuse catholique qui a consacré sa vie entière au bon Dieu, comme tant d’autres Françaises des siècles passés modelés par le christianisme, racine de la France, se voit refuser une place en maison de retraite… à cause de son voile et de son habit de religieuse.
Cette sœur clarisse, âgée d’environ 75 ans, à la retraite aujourd’hui, a toujours porté un habit religieux et le voile depuis qu’elle a prononcé ses vœux. Obligée de quitter son couvent dans la Drôme, elle pensait terminer ses jours à Vesoul en Haute-Saône, sa région natale. Elle fait donc une demande de logement auprès du Foyer Logements, qui dépend du CCAS. Chaque résident dispose d’un appartement et de la salle commune pour les repas. Mais le CCAS, par courrier, lui enjoint afin de pouvoir disposer d’une place dans le Foyer de quitter son habit et son voile religieux : « Au sein de nos structures nos résidents peuvent avoir des préférences et convictions et celles-ci doivent être respectées. […] Dans le respect de la laïcité tout signe ostentatoire d’appartenance à une communauté religieuse ne peut être acceptée en vue d’assurer la sérénité de toutes et de tous ».
La religieuse refuse de se séparer de son habit.
Pour le président du CCAS, Claude Ferry, cette « affaire est classée. La religieuse a refusé la place qui lui était proposée, elle n’a pas voulu accepter le règlement intérieur qui est le même pour tout le monde », a-t-il précisé à la presse. Pour le maire de la ville de Vesoul, il s’agit en revanche d’une « erreur d’appréciation« .
C’est finalement la paroisse qui a trouvé un logement indépendant pour la religieuse qui se retrouve, après des décennies de vie en communauté, à vivre et se débrouiller toute seule.
C’est cela la laïcité à la française, un moyen pour la République française franc-maçonne qui tient le haut du pavé en cette terre pétrie de traditions catholiques, d‘abolir de l’espace public non pas les signes musulmans qu’elle ne craint pas mais les symboles chrétiens, inscrits dans l’histoire et la mémoire françaises. C’est du passé chrétien que la laïcité, ce concept révolutionnaire et de gauche, veut faire table rase !
Mais, il faut garder espoir, le pape saint Pie X a prophétisé que la France chrétienne ne périra pas :
« Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux Fonts Baptismaux de Reims se repentira et retournera à sa première vocation.
Les mérites de tant de ses Fils qui prêchent la vérité de Évangile dans le monde presque entier et dont beaucoup l’ont scellée de leur sang, les prières de tant de Saints qui désirent ardemment avoir pour compagnons dans la Gloire Céleste les frères bien-aimés de leur patrie, la piété généreuse de tant de ses Fils, qui, sans s’arrêter à aucun sacrifice, pourvoient à la dignité du clergé et à la splendeur du culte catholique, et, par dessus tout, les gémissements de tant de petits enfants qui, devant les Tabernacles répandent leur âme dans les expressions que Dieu même met sur leurs lèvres, appelleront certainement sur cette nation les miséricordes Divines. Les fautes ne resteront pas impunies, mais elle ne périra jamais, la Fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes.
Un jour viendra, et nous espérons qu’il n’est pas très éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une Lumière Céleste et entendra une voix qui lui répétera : « Ma Fille, pourquoi Me persécutes-tu ? ». Et, sur sa réponse : « Qui es-tu, Seigneur ? », la voix répliquera : « Je suis Jésus, que tu persécutes. Il t’est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même ». Et elle, tremblante, étonnée, dira : « Seigneur, que voulez-vous que je fasse ? ». Et Lui : « Lève-toi, lave-toi des souillures qui t’ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille Aînée de l’Eglise, nation prédestinée, vase d’élection, va porter, comme par le passé, Mon Nom devant tous les peuples et devant les rois de la Terre ».
Francesca de Villasmundo
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[…] Source et auteur: Médias-Presse-Info […]
Il devient urgent de cesser la retraite par répartition, où les enfants des uns financent les retraites de ceux qui se sont donné le luxe de ne pas « s’encombrer » d’enfants.
Pas de bras, pas de chocolat? pas de bébés, pas de retraite.
Une bonne nouvelle !
Car si l’état de crise perdure et s’amplifie partout dans le monde, en dépit de quelques pauses et exceptions ici ou là ; si le chômage et la pauvreté augmentent ; si les inégalités sociales se creusent ; si les revendications et les violences se multiplient ; si l’environnement se dégrade chaque jour davantage, les raisons en sont l’augmentation considérable de la population mondiale et celle de la richesse globale qu’une partie de cette même population génère par son activité, avec l’aide du progrès ; le partage de cette richesse, entre nations comme entre individus, étant une toute autre affaire où s’affrontent, moins des faites et des chiffres que des sentiments.
Chaque jour, 220 à 250 000 êtres humains supplémentaires déferlent sur la planète. Par l’effet de la structure pyramidale de la société et du sort qui les fait naître ce qu’ils sont ; assujettis aux taux de natalité les plus élevés, les pauvres qui représentent la grande majorité de ces nouveaux arrivants vont s’ajouter à ceux qui surpeuplent déjà la base de la pyramide sociale – où les rejoignent les victimes de tous horizons d’une bataille pour l’emploi aux dimensions planétaires –, pendant que son sommet ne cesse de s’élever.
Et c’est ainsi que le nombre nous entraîne vers un monde ingouvernable et la pauvreté pour tous.
Pour approfondir cette réaction, voir :
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com
Concernant le commentaire de @CB, les personnes qui « ne se sont pas encombrés d’enfants » ont d’une part payé plus d’impôts que les autres (ce qui a permis d’en exonérer en partie ce qui ont fait des enfants) et d’autre part ont cotisé pour leur propre retraite (ce qui a permis de financer « en temps réel » la retraite des retraités du moment: l’argument ne me semble donc pas recevable…
Concernant l’impact des « telenovelas », il est tout à fait indéniable et c’est d’ailleurs de cette façon que l’ONG « Population Media Center » oeuvre dans les pays où la démographie continue d’exploser (Afrique subsaharienne, en particulier). Il faut bien comprendre que des taux de fécondité de 5, 6 ou 7 sont une catastrophe pour les pays qui y sont encore confrontés, car cela correspond au doublement (voire au triplement) de la population tous les 20 ans. Nombre d’entre eux n’ont d’ailleurs d’ores et déjà plus assez de terres arables, ni d’eau douce, pour alimenter leur population.
Je ne parle même pas des densités de population que certains pays vont connaître en 2050 (dans 37 ans seulement!), à comparer avec « nos » 116 hab/km²:
Nigeria (481 hab/km²), Inde (503 hab/km²),Philippines (507 hab/km²),Haïti (607 hab/km²),Rwanda (923 hab/km²),Burundi (1.036 hab/km²),Bangladesh (1.403 hab/km²).
Pour ne prendre que l’exemple extrême du Bangladesh, avec la densité qui y est prévue en 2050, la France compterait 774 millions d’habitants, soit 700 millions de plus que ce qui est prévu : si l’enfer existe, nous en aurions alors une préfiguration…
Un effondrement qui voit passer la population de 3milliards d’humains en 1960 à 7 milliards en 2011, à8,6 milliards en 2050 et sans doute à 10 milliards en 2100 ne s’appelle pas un effondrement mais une hausse vertigineuse. Cela s’appelle aussi une catastrophe.
Un effondrement ? Quel effondrement ? Au cours des 40 dernières années la Terre a « gagné » plus d’habitants qu’au cours des 100 000 ans précédents !
Au Mexique dites-vous le taux de croissance de la population (hors migrations) a diminué, certes et heureusement, mais sachez qu’il est encore de 1,5 % par an (mortalité 4 pour mille, natalité 19 pour 1000, source: Ined. 2013)soit une perspective de doublement en 47 ans.
Vous ne semblez jamais poser la question de la place disponible. Où mettrons-nous les gens ? Faites-vous le choix de l’entassement ou celui de la destruction des derniers écosystèmes ? A terme nous aurons d’ailleurs les deux et c’est déjà le cas dans nombre de pays. Regardez une courbe d’évolution de la population sur les 2000 dernières années. L’asymptote à cette courbe est verticale, ce n’est pas le dessin d’un effondrement c’est celui d’une croissance exponentielle (avec un facteur multiplicateur supérieur à 1 pour être précis). Ce genre d’évolution n’a de sens que dans le monde mathématique, dans le monde réel, de dimensions finies, il conduit par nature à la catastrophe.
[…] Quand les séries télés influencent la démographie… 14 décembre 2013 Pierre-Alain Depauw […]
[…] Sursă: Medias Press […]