Les lockdowns files en Grande-Bretagne, ces quelques 100000 messages WhatsApps de l’ancien secrétaire à la Santé et des membres du gouvernement Johnson, divulgués par le Telegraph, font voler en éclat le narratif covid. Ils ont osé pour « faire peur à tout le monde » « déployer un nouveau variant ».

Le plan de Matt Hancock surnommé Project Fear consistait à « faire une peur bleue » au public pour assurer le respect des mesures de confinement

The Telegraph, journal mainstream s’il en est au Royaume-Uni, continue sa publication des messages WhatsApps de l’ancien secrétaire à la Santé, Matt Hancock avec ses collègues du gouvernement Johnson.

Le 4 mars dernier, après avoir publié les jours précédents les premiers messages concernant globalement l’absence de justification solide, les mesures inhumaines et inefficaces, la pression sur la police, les données erronées pour mettre en place les confinements et les mesures liberticides à répétition, le quotidien britannique titrait :

« Les auteurs du Project Fear (Projet Peur) ont discuté sur WhatsApp du moment où « déployer » la nouveau variant ».

Le plan de Matt Hancock surnommé Project Fear consistait à « faire une peur bleue » au public pour assurer le respect des mesures de confinement « Quand déployons-nous le nouveau variant », demande Matt Hancock en décembre 2020 à un de ses collaborateurs, Damon Poole via un message WhatsApp après avoir parlé de la nécessité « d’effrayer tout le monde avec la nouvelle souche » dans le but de « entraîner[a] un changement de conduite approprié » (sic).

Ce à quoi Poole réponde :

« J’ai pensé beaucoup à cela et je pense que nous devons faire plus attention ».

La discussion porte également sur l’aide des médias grand public pour obtenir ce changement « de conduite appropriée ». Le lendemain, Matt Handcock annonçait l’apparition du nouveau variant. La vidéo ci-dessous le montre à la télévision en train de le déployer.

Dans un autre échange, le chef de la fonction publique, Simon Case, a suggéré que le « facteur peur/culpabilité » était vital pour le message du gouvernement.

La peur pour « fabriquer le consentement »

« Les messages, souligne The Spectator, autre quotidien britannique, nous rappellent encore une fois l’état d’esprit, à ce stade de la pandémie, du petit groupe d’hommes qui s’étaient donné tout le pouvoir pendant le confinement. » Outre les moqueries envers les personnes confinées, la pression sur la police pour qu’elle fasse respecter drastiquement les mesures liberticides, « nous les voyons parler de la peur comme d’un outil gouvernemental légitime, à activer ou désactiver – et discuter de l’utilité pour le gouvernement que les gens aient peur » analyse le Spectator.

Le résultat de cette fabrique du consentement a été à la ‘hauteur’ pour bien des personnes, notamment les plus vulnérables. Le Sunday Telegraph de l’édition d’hier a interrogé la mère d’un garçon de 15 ans qui craignait tellement le Covid qu’il en était venu à craindre l’air lui-même. Elle explique qu’elle a essayé de le protéger des nouvelles, mais la morosité était partout. Tragiquement, il s’est suicidé.

Rappelons pour souligner le scandale de cette volonté d’apeurer les gens, que Boris Johnson et son gouvernement dont le chancelier de l’époque, Rishi Sunak, ont tous reçu une amende chacun pour avoir assisté à une fête d’anniversaire organisée en l’honneur de l’ex-Premier ministre en juin 2020, en plein confinement. Ce scandale a d’ailleurs participé à la chute de Boris Johnson

Ces révélations vont voler en éclat le narratif covid qui a été vendu par les politiciens, non seulement britanniques mais du monde occidental dans son ensemble, et par les médias collaborateurs.

Francesca de Villasmundo

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