
Ces derniers jours, Léon XIV a plusieurs fois traité des migrants en suivant l’idéologie immigrationniste conciliaire, bergoglienne et mondialiste. Mgr Viganò tord le cou à cet immigrationnisme béat.
Les migrants et leur accueil sont un thème central de la prédication de Léon XIV
Les migrants et leur accueil sont un thème central de la prédication de Léon XIV. Comme son prédécesseur et les papes conciliaires précédents, l’idéologie immigrationniste reste la boussole de la « ces vertus chrétiennes devenues folles » à l’ère conciliaire, car centrées sur l’Homme et non plus sur Dieu.
Le 30 septembre dernier, Léon XIV a critiqué la politique trumpienne destinée à mettre un frein à l’immigration clandestine et à décourager les aspirants illégaux à venir aux Etats-Unis. Lors d’un échange informel avec des journalistes à Castel Gandolfo, le pape Léon XIV a affirmé qu’un catholique « ne peut pas se dire pro-vie » s’il soutient la peine de mort ou s’il accepte le « traitement inhumain » réservé aux migrants aux États-Unis.
Aux participants à la conférence « Réfugiés et migrants dans notre maison commune », – le titre donne déjà la direction idéologique-, le pape a adressé le 2 octobre des paroles tout autant immigrationnistes en évoquant « une culture de la réconciliation » destinée à mieux accueillir les « migrants » et les « réfugiés » qui sont, selon ses mots, « des témoins privilégiés d’espérance grâce à leur résilience et à leur confiance en Dieu. Souvent, ils gardent leur force tout en cherchant un avenir meilleur, malgré les obstacles qu’ils rencontrent ».
Pour Léon XIV, les ‘migrants’ sont intrinsèquement bons et des victimes
Et dimanche dernier, 5 octobre, à l’occasion du Jubilé des missionnaires et des migrants, Léon XIV affirme « un nouvel âge missionnaire dans l’histoire de l’Église ».
Il a ainsi mis l’accent, à nouveau, sur la situation des ‘migrants’ qui ont dû « quitter leurs terres, souvent en laissant leurs proches, traversant des nuits de peur et de solitude, vivant dans leur chair la discrimination et la violence ». Aussi, a-t-il rappelé le devoir de l’Église : « Toute l’Église est missionnaire, et il est urgent – comme l’a affirmé le Pape François – qu’elle ‘‘sorte pour annoncer l’Évangile à tous, en tous lieux, en toutes occasions, sans délai, sans répulsion et sans crainte’’ ».
A l’instar de son prédécesseur, les ‘migrants’ sont perçus comme intrinsèquement bons. Des ‘chances’ pour le monde chrétien et occidental…
Mgr Carlo Maria Viganò tord le cou à cet immigrationnisme béat
Dans un post sur X, Mgr Carlo Maria Viganò a tordu le cou à cet immigrationnisme béat qui ne tient pas compte du réel ni des forces mondialistes destructrices de la civilisation chrétienne qui le soutiennent :
« L’obsession monomaniaque de Jorge Bergoglio pour l’immigration et le métissage sans discrimination trouve un fervent défenseur en la personne de Robert Prevost. La passation des pouvoirs n’a représenté aucun changement radical, ni sur le plan doctrinal, ni sur le plan moral, ni sur le plan politique, ni sur le plan social. L’église conciliaire-synodale est et demeure l’« Ancilla Novi Ordinis », la courtisane de l’élite mondialiste.
Le phénomène migratoire n’est pas spontané
« Nous savons bien que le phénomène migratoire n’est pas spontané : il n’est pas causé par la famine, la guerre ou la persécution religieuse. Il a plutôt été voulu et planifié comme un élément de déstabilisation des nations occidentales, et l’immigration clandestine est utilisée comme un instrument de subversion sociale. C’est ce qu’affirme un document des Nations Unies du 21 mars 2000 intitulé « Migration de remplacement » ( https://un.org/development/desa/pd/sites/www.un.org.development.desa.pd/files/unpd-egm_200010_un_2001_replacementmigration.pdf ).
« L’église bergoglienne et post-bergoglienne est à l’avant-garde de la promotion de l’immigration, de la substitution ethnique et de l’invasion des nations occidentales, dans le but d’effacer leur identité chrétienne, leur culture et leur histoire.
« C’est ce que confirme l’importance accordée à l’audience accordée par Léon à Amy Pope, directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), et au Jubilé des migrants.
Le Saint-Siège est complice du plan subversif ourdi par l’élite mondialiste
« Le Saint-Siège est complice du plan subversif ourdi par l’élite mondialiste : il présente les immigrants illégaux comme des victimes et entretient des liens avec ceux qui organisent leur trafic, tout en accusant la population envahie, victime des crimes odieux et de la dégradation que ces hordes commettent dans nos villes. Enfin, abusant de l’autorité morale de la Papauté, l’église synodale assimile immigration, peine de mort et avortement, pour le plus grand plaisir de la Gauche woke et pour le plus grand scandale des mouvements pro-vie.
« La collusion de Léon et de ses Évêques avec l’élite mondialiste est délibérée et source de profit pour les institutions et organisations catholiques. Ce phénomène se produit également au sein des gouvernements civils, dont les dirigeants sont tous des émissaires du Forum de Davos, de la Fabian Society, de l’Open Society de Soros ou d’autres entités supranationales conspirant contre le peuple. Et il est pour le moins scandaleux que les évêques progressistes américains alimentent cette controverse savamment créée, l’exploitant à des fins politiques contre le président Trump, alors qu’ils ont lâchement gardé le silence sous la présidence Biden face à des enjeux moraux bien plus graves.
Cette soumission de la Hiérarchie conciliaire au plan criminel du Grand Reset et de l’Agenda 2030 sera jugée par Dieu et par l’Histoire
« N’oublions pas que l’USCCB (Conférence des évêques catholiques des États-Unis, ndlr de MPI) s’est laissée corrompre par les milliards de dollars versés par l’USAID pour promouvoir la substitution ethnique aux États-Unis. Ce même phénomène s’est produit avec d’autres conférences épiscopales et le Vatican, comme pendant la période du Covid. Même à cette époque, la Hiérarchie a ouvertement soutenu le discours dominant, recommandant même, dans une note du Dicastère pour la Doctrine de la Foi, un sérum génique produit à partir de fœtus avortés, qui continue de faire des millions de victimes.
« Cette soumission de l’Église catholique au plan criminel du Grand Reset et de l’Agenda 2030 sera jugée par Dieu et par l’Histoire, et restera comme une tache indélébile sur la réputation – déjà gravement compromise – de cette Hiérarchie renégate et apostate. »
Francesca de Villasmundo
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