Volodymyr Zelensky a été de nouveau reçu à l’Élysée hier lundi 1er décembre. Une énième rencontre entre deux chefs mal-aimés, si ce n’est détestés par leur population, et dont l’un est éclaboussé par un colossal scandale de corruption. Une rencontre pour parler guerre et non pas paix. Une rencontre pour deux hommes perdus mais qui veulent durer.
Le sort du peuple ukrainien n’importe pas réellement aux classes dirigeantes européennes
Ce n’est pas un hasard si le dirigeant européen le plus virulent au sein du front belliciste commun ukrainien du vieux continent n’est autre que Macron. La question de la guerre en Ukraine a des racines profondes, qui dépassent malheureusement largement le sort des pays en guerre et des peuples impliqués.
Seuls quelques ignorants ou quelques politiciens et journalistes malhonnêtes pourraient croire que le sort du peuple ukrainien importe réellement aux classes dirigeantes, déterminées à attiser les tensions. Des perroquets et des escrocs, en somme.
Et c’est le cas des dirigeants décadents d’Europe. Regardez-les côte à côte : Macron, le plus grand perdant de tous, Merz, Starmer. Des gens sans plus aucune légitimité. Presque haïs par leurs concitoyens.
Macron est celui qui a le plus de difficultés en France : quoi de mieux que la guerre pour s’accrocher au pouvoir ?
Ils se représentent eux-mêmes et incarnent leur vide par eux-mêmes et leurs rencontres sans fin qui ne mènent à rien de concret… du moins pour la paix. Parmi eux, Macron est celui qui a le plus de difficultés : il perd élection sur élection, sa popularité est au plus bas, il soutient gouvernement après gouvernement alors que celui-ci s’effondre, les imposant à un pays au bord du gouffre.
Quant aux élites européennes, Von Leyen, l’Estonienne Kaja Kallas, le Lituanien Kubilius que personne n’a élu mais qui dictent leur volonté idéologique aux Nation européennes et qui veulent nous entraîner dans un conflit contre la première puissance militaire mondiale, leurs sièges sont eux aussi fragilisés, et eux aussi devront rendre des comptes, aux maîtres qui les gouvernent.
Macron le sait, cette guerre c’est sa bouée de sauvetage pour durer un certain temps encore
Alors quoi de mieux que la guerre pour s’accrocher au pouvoir ? Macron le sait, cette guerre c’est sa bouée de sauvetage pour un certain temps encore, pour briller encore un tout petit peu, devant un parterre de nullités politiques et médiatiques qui toute additionnées ensemble ne représentent qu’un vide intellectuel et géo-politique abyssal. L’ennemi extérieur, plus imminent que menaçant, pousse les gens à regarder ailleurs, en-dehors des frontières, et à se voiler la face sur la décadence interne.
« La pression sur la Russie sera encore plus forte », a ainsi déclaré le matamore de salon Emmanuel Macron après sa rencontre à l’Élysée, ce 1er décembre 2025, avec Volodymyr Zelensky, éclaboussé par un colossal scandale de corruption, annonçant un renforcement des sanctions contre Moscou : « C’est la première fois que nous avons un plan de sanctions aussi complet, qui concerne à la fois le pétrole et la flotte parallèle. » Ils en sont au 19e paquet mais ils croient encore que cela marche… Le vide, vous dis-je, le vide…
« Je vous assure », a ajouté le président français, « que dans les semaines à venir, la pression sur la Russie s’intensifiera pour limiter son financement. » « L’objectif principal est la paix », a-t-il ajouté… mais la guerre s’est tellement mieux pour durer dans une France en décomposition.
Et c’est donc la guerre qu’en sous-main ces ‘volontaires’ financent et font perdurer.
Francesca de Villasmundo
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