Deux personnalités médiatiques ont choisi leur camp, l’une soutenant Marine Le Pen, l’autre Emmanuel Macron.
L’ancienne conseillère de Jacques Chirac, qui lui doit toute sa carrière, Marie-France Garaud, 83 ans, candidate aux élections présidentielles en 1981 (où elle avait comme directeur de campagne le futur ministre socialiste de la Justice Pierre Arpaillange) et député européenne de 1999 à 2004, vient officiellement accorder son soutien à Marine Le Pen pour le second tour des Présidentielles, déclarant dans un entretien au quotidien Le Figaro que pour elle, elle est la seule qui peut rendre sa souveraineté à la France, ayant l’analyse pointue qu’on lui connaît bien au sujet de l’adversaire de celle-ci : « J’ai le sentiment que Monsieur Emmanuel Macron n’a ni amour-propre, ni lucidité. Il étale ses faiblesses avec un extraordinaire masochisme. Il a un petit côté chien battu. Il ne respecte pas la France et il est même en train de détruire le support de son existence politique ».
L’ancien footballeur Yazine « Zinedine » Zidane, actuellement entraîneur du club espagnol du Real de Madrid, vient d’accorder son soutien à Emmanuel Macron. Ballon d’or 1998, il rata celui de 2000 au profit du milieu offensif Portguais Luís Filipe Madeira Caeiro Figo, alors que Zidane avait été champion d’Europe avec la France et champion d’Italie avec la Juventus Turin. Il est vrai que son coup de boule contre le joueur de SV Hambourg Jochen Keintz avait pesé dans la balance. Ce fut l’un des 12 (oui, DOUZE !) cartons rouges de sa carrière, dont deux en Coupe du Monde, contre l’Arabie Saoudite en 1998 pour s’être essuyé les crampons sur le défenseur et capitaine Fuad Anwar Amin et surtout contre l’Italie en 2006 pour coup de tête sur le défenseur central Marco Materazzi. Rappelons qu’en 2006, l’équipe de France à l’agonie après le premier tour (et notamment une victoire suspecte contre le Togo) s’est retrouvée miraculeusement fraîche et pimpante contre l’Espagne suite à un aller-retour éclair de Zidane en Espagne chez le bon Eufemiano Fuentes, gynécologue qui aurait mérité le Prix Nobel de Médecine pour ses travaux sur les transfusions sanguines « revivifiantes »…
On a le soutien que l’on mérite et qui se ressemble s’assemble…
Hristo XIEP
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c est quoi ce « bleu » qui revient avec insistance en fond de journal televise ,sur les cravates des illus ,en lumiere qui descend a l interieur du tribunal de lille sortant d un œil ,,,observez bien ,
Il remplace Jacques Villeret.
En mieux.
Ah ! Ce soir, c’est lecture des meilleures pages du Talmud :
Peut-être s’apercevra-t-il que ce ne sont pas vraiment des lois pour les Français, ça. Et dire que tout cela est défendu par « ceux qui sont à l’avant garde de la république et de nos valeurs. »
En voici quelques extraits :
Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif.
Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs.
Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.
Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs.
Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux.
Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
Même qu’un non-juif à la même apparence qu’un juif, ils se comportent envers les juifs
de la même manière qu’un singe envers un homme.
Lorsque vous mangez en présence d’un non-juif c’est comme si vous mangiez avec un chien.
Tous les enfants des goyims sont des animaux.
Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils
sont malades des intestins.
Les juifs peuvent voler les non-juifs:
La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame.
Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif.
Le nom de dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un Non-juif.
Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre.
Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement.
L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur les apostats.
Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un Non-juif.
Si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire.
les incroyants ne bénéficient pas de la loi et dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël.
Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout
autre subterfuge.
A lire dans : http://vs666.unblog.fr/2008/08/26/juifset-non-juifs-goyims/