Ignace – « Pour que la France reste la France »

Ce qui est évident et résulte d’un raisonnement simple, logique, rationnel, c’est que le terrorisme et les terroristes, il faut les combattre, sur le terrain du combat, la ou ils sont, mais aussi sur le plan politique! La – La France, avec a sa tête, ses décideurs, les présidents de la république, les gouvernements successifs et les partis dit de la majorité ou de l’opposition, ont-ils fait leurs job? ont-ils eues les bonnes réponses politiques et les bonnes réactions sur le terrains pour combattre le ou « ce » terrorisme, qui avec le temps est l’unique réponse avec l’instauration de « l’état d’urgence »! Et surtout est-ce que cet état ( état d’urgence) de fait comme réponse aux terrorisme, n’est pas en quelque sorte, une justification d’une surveillance et contrôle du pays et du peuple? bref, le terrorisme n’est il devenu une politique, justifiant l’état d’exception?
– A un moment le pays doit avoir un sursaut autre que l’indignation devant la barbarie de ces actes terroristes. Indignations justifier et compréhensible, mais qui sont loin d’être une réponse politique. Ce n’est qu’une exploitation émotionnel, qui au fil des actes terroristes devient en elle même un acte terroristes envers les victimes réelles et leurs familles qui portent le deuil!
– La manière que les gouvernements successifs Français ont géré le conflit en Syrie et dans une autre mesure celui de l’Irak qui depuis l’invasion américaine subi le terrorisme quotidienne moment!
– La France, ceux qui la géré politiquement et économiquement ne peuvent plus, d’un coté dire « qu’ils luttent » contre le terrorisme et d’un autre, soutenir la constellation de rebelles Syriens – qui pour un grand nombre d’entre eux ne sont pas Syriens mais des mercenaires djihadistes internationale!
Un jour, le plut^t possible sera le mieux, cela évitera que la liste des victimes du terrorisme s’allonge en France, que cette politique soit remise en cause et que ceux qui en sont responsable puissent être responsable de les actes et finir une fois pour toute avec cet état de fait des politique: responsable, mais pas coupable!