
Appel à la fidélité
Demande aux membres du chapitre général de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X
Nous sommes des compagnons de la première heure ou des convertis d’hier, pères ou mères de famille, prêtres, religieux ou religieuses, ou bien encore de simples fidèles désireux de le rester ; nous avons applaudi à la déclaration de 1974, constatant aussi que la Rome moderniste avait perdu la foi et qu’elle répandait plus que jamais des erreurs mortelles pour les âmes.
Nous avons compris l’état de nécessité qui a conduit Monseigneur Lefebvre à ne pas tenir compte des injustes condamnations que lui ont values les ordinations sacerdotales et les sacres. Nous avons pleuré avec lui la trahison de ceux qui portent maintenant le nom de ralliés pour avoir abandonné le combat mené contre la destruction de la foi, et pour le règne du Christ-Roi. Nous avons compris que cet état de nécessité donnait une juridiction plus vraie que celle issue d’un nouveau code de droit canon en opposition sur bien des points avec notre foi.
Nous avons aimé former une grande famille de familles, paisiblement unies par la vérité, et comme Monseigneur Lefebvre a permis cette union, malgré le désordre causé par Rome, de même nous voulons reformer cette paisible union par cette même vérité exempte de compromis avec l’erreur.
Aussi est-ce avec la force de nos convictions, avec le droit de ceux qui ont participé à construire matériellement et humainement cette Fraternité, notre Fraternité, avec nos moyens matériels, notre temps, notre dévouement, notre engagement religieux, sacerdotal ou celui de certains de nos enfants, avec notre amitié et notre fidélité aux meilleurs conseils de son fondateur Monseigneur Lefebvre, que nous demandons à être entendus comme il est juste que nous le soyons, comme des enfants adultes ont le droit d’être entendus de leurs parents ; c’est avec respect mais fermement que nous demandons aux membres du chapitre d’entendre notre appel et de le lire publiquement à cette occasion :
- Que ne soient pas acceptées les propositions de régularisations partielles concernant la confession, les ordinations et les mariages, propositions qui devaient être présentées à un chapitre délibératif avant d’être acceptées, selon les décisions du chapitre général de 2012,
- Que la règle laissée par Monseigneur Lefebvre redevienne la nôtre, comme il avait été décidé en 2006 : pas d’accord pratique avant d’être d’accord sur la doctrine, cela pour le bien même de l’Église,
- Que la charité retrouve ses droits dans la Fraternité, offrant à ceux qui le souhaitent de reprendre la place qu’ils ont pensé devoir laisser ou qu’ils ont dû quitter, et renouant les liens d’amitié avec les communautés indépendantes qui ont jugé nécessaire d’exprimer leur désaccord avec l’acceptation d’accords pratiques dépourvus du préalable doctrinal,
- Que l’unité se reconstruise dans un combat commun contre les erreurs doctrinales et le libéralisme envahissant progressivement nos familles et nos écoles car si division il y a, ces années de troubles en sont l’une des causes principales.
Archambaud de Vençay Michel
Bizien Sylvie
Forest Divonne (de la ) Christian
Lagrave Christian
Mérode (de) Robert
Germay (de) Patrice
Peron Arnaud (12 enfants dont 1 prêtre et 1 religieuse)
Triomphe Michel
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Ingénierie sociale :
La France contre les zombies – Lucien Cerise – 1
https://www.youtube.com/watch?v=VQLpr_K3tTo
La France contre les zombies – Lucien Cerise – 2
https://www.youtube.com/watch?v=7-rK70S9Hro
Merci MPI !
les Américains sont venus en France comme en pays ennemi, à traiter en vaincu, à coloniser comme l’ Allemagne.
Robert Courtois a pu établir que c’est Staline qui a exigé de ses ambassadeurs que la France soit traitée en vainqueur , au grand mécontentement des Américains et des Anglais.
c’est un début de la guerre froide.
Mais en sous-main Staline et Roosvelt-Churchill
étaient d’accord pour commencer à détruire les Pays d’europe
(sauf l’Angleterre),
en la coupant en deux, et en commençant par détruire leurs cultures.
Côté ouest :
laminage des traditions folkloriques, jazz, cinéma sexy,
zazous, blousons-noirs, biteuls, mai68, hippies, drogue, punks,
Coté est : communisme intégral, condamnations à mort, goulag.
Et en 1989, pour le bicentenaire,
abandon du communisme, MAIS conservation de la décadence,
avec, tout de suite, une nouvelle dictature pour maintenir la pression :
le « marketing, management, communication »
plus les « entretiens annuels d’évaluation » …
OR, cette « nouvelle dictature », PERSONNE n’en dit rien,
pas même les gilets jaunes, ou marine le pen …
Preuve que cette farce est … soutenue par une entente !
« L’Occident capitaliste décide après guerre d’un programme impérialiste à imposer sur le continent européen. L’existence du bloc soviétique le contraint à composer. La guerre froide est, un temps, la forme prise par ce combat. Jusqu’à la chute du marxisme-léninisme européen, le 26 décembre 1991, l’Occident capitaliste se retient parce qu’il sait possible une riposte communiste. Les deux blocs se menacent et accumulent les armes nucléaires.
Ce que le général de Gaulle n’avait pas permis en 1945, autrement dit le Gouvernement militaire allié des territoires occupés (AMGOT) auquel les États-Unis aspiraient, l’Europe de Jean Monnet l’a permis.
Précisons avant toute chose qu’on dit assez peu que le nom de code du débarquement allié du 6 juin 1944 est Overlord et que la traduction française de ce mot est… « suzerain » ! Qu’est-ce qu’un suzerain ? L’étymologie témoigne : le mot suppose une relation féodale de soumission entre le suzerain qui commande et son vassal qui est commandé. L’AMGOT désigne, bien évidemment, un pays suzerain – les États-Unis –, et un vassal – la France.
Quel était le programme de l’AMGOT ? Administrer le pays en recyclant les préfets vichystes, parce qu’ils étaient anticommunistes, donc de confiance, afin de transformer la France en province gouvernée par les Américains. Des officiers américains et anglais ont été formés dans des universités à cet effet. Une monnaie est frappée. De Gaulle fait savoir qu’il n’est pas question que les États-Unis administrent la France. Il gagne son bras de fer le 23 octobre 1944 quand le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) est reconnu de jure par les États-Unis, la Grande-Bretagne et l’Union soviétique. »
Théorie de la dictature / Onfray, Michel
Quid de » l’occident capitaliste » ?
Onfray n’est pas Soral .
Les américains, par leur inféodé Jean Monnet, banquier universaliste , finiront par convaincre De Gaulle…depuis l’Europe nous a tous couillonné.
De Gaulle était un prétentieux, imbu de sa personne, mauvais politique…une qualité cependant, il ne mettait pas la cuillère dans le pot de confiture !
80% des soldats violeurs noirs …
ces malheureuses victimes de la suprématie blanche !