La comédienne Anny Duperey a expliqué pourquoi elle ne se fera pas vacciner.
Le 8 février dernier, la comédienne âgée de 73 ans partageait déjà ses critiques contre le vaccin auprès d’Evelyne Thomas sur Non Stop People.
“Je pense qu’il est urgent d’attendre devant un produit complètement expérimental, qui n’a jamais été utilisé jusqu’à présent, qu’on appelle faussement un vaccin puisque ça fait plutôt partie d’une thérapie génique, dont on ne sait absolument pas les effets à long terme. Alors c’est pratique, on vaccine les plus vieux, comme ça s’il y a des effets, on ne saura pas, ils auront claqué avant”
Dans Gala daté du jeudi 31 mars, Anny Duperey s’inquiète aussi du retour de la liberté qu’il va falloir “reconquérir”.
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Excellent article, parfaitement éclairant, avec un « angle d’attaque » inhabituel mais imparable me semble-t-il . Même et surtout pour la « bienpensance » de gooôooche universaliste et « humaniste » prise une bonne fois pour toute la main dans le pot de confiture.
Mais ils ont développé une telle culture du mensonge et du déni de réalité………….
Aujourd’hui, c’est le Réseau Salariat qui a repris le flambeau du catholicisme social : « Le salaire à vie (même) pour les nuls – Chapitre I » : http://www.reseau-salariat.info/432bd6817d5c01962c233e99426f10e1?lang=fr
Pourquoi les Français ne seraient-ils pas assez grands pour s’organiser eux-mêmes ?
Tout ça est bien trop compliqué, et donc inapplicable. Le plus juste est d’expulser tous les musulmans. Nous n’avons pas besoin d’eux. A nous autres, employés et ouvriers, ils n’apportent que du malheur, nous ne voulons pas vivre avec eux. Je peux concevoir que les patrons s’en servent pour faire pression sur nos emplois et nos salaires et que c’est leur intérêt.
Mais ce n’est pas le nôtre, loin s’en faut. Pour nous l’immigration n’est que négative.
Il me semble qu’il y a confusion sur les mots :
– La préférence « sociale » n’est est pas une car il s’agit d’attribuer les aides sociales PUBLIQUES aux français (qui respectent la loi française), et non aux étrangers, cela me parait très clair.
– La préférence dite « économique » est d’un autre ordre car il s’agit de relations entre personnes privées donc ce sont les critères économiques qui doivent être prédominants (à l’exclusion de toute discrimination soit disant positive) à condition de cela respecte la loi française (donc les sans papiers ne doivent pas avoir un emploi en France) mais si l’étranger concerné a un titre de séjour régulier je ne vois pas pourquoi il serait exclu (s’il y a problème il faut lui retirer son titre de séjour), Quant aux « sans papiers »-clandestins, ils doivent être raccompagnés à la frontière (ce jour là vous coupez le courant au conseil d’état …).
Pour ce qui est des emplois publics, ils doivent être réservés aux français (comme cela était le cas il n’y a pas si longtemps en France …)
Il me semble qu’il aurait fallu lire l’article avant de le commenter, car il indique que le soi-disant volet économique n’est pas hermétique avec le social. D’autant plus qu’en l’état actuel des choses, il est impossible et injuste de vouloir couper la protection sociale d’un travailleur qui cotiserait pourtant pour… Ce serait la pire des choses. C’est donc tout le système qui serait à revoir. Et il faudrait aussi lui interdire d’être soigné en France (cas d’urgence, comment fait-on ?). Sachant que le « social » ne concerne pas que les « prestations » mais la globalité de la vie sociale : usage des routes, non-embauche des Français, résidence en France, etc. Ou le patron assume tous les coûts, ou alors il s’abstient. Mais dans la pensée de Hoppe, qui pose tous les vrais problèmes, c’est en fait à l’État moderne qu’il faut s’attaquer (et à la notion même de « nationalité » juridique).
La préférence nationale ne supporte aucune restriction. Point barre