Claire Séverac constate que, dans tous les domaines, qui veut s’informer découvre un plan mondialiste et satanique. Mais le système cherche à culpabiliser ceux qui ouvrent les yeux.
Claire Séverac : « On nous culpabilise au nom de… par cinequaprod
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Concile d’Elvire (an 300-303) sur l’indissolubilité du mariage. Denzinger 117 :
Can. 9. « De même une femme croyante, qui a quitté son mari croyant adultère et qui épouse un autre, il sera interdit qu’elle l’épouse ; si elle l’épouse néanmoins, elle ne recevra pas la communion avant que celui qu’elle a abandonné ait quitté d’abord le monde ; à moins que peut-être la contrainte de la maladie ne pousse à la lui donner. »
Denzinger 212. Lettre à l’évêque Exupère (an 405) sur la réconciliation au moment de la mort
(Chap. 2)… « Il a été demandé comment il faut se comporter à l’égard de ceux qui, après le baptême, se sont livrés sans relâche à la volupté charnelle et qui, à la fin de leur vie demandent à la fois la pénitence et la réconciliation dans la communion.
A leur endroit la prescription ancienne est plus sévère ; l’autre, récente, plus douce, par mesure de miséricorde. En effet suivant l’ancienne coutume on tenait à ce que leur soit accordée la pénitence, mais que la communion soit refusée. En effet, en ces temps lointains où les persécutions étaient fréquentes l’on refusait à bon droit la communion, de peur qu’en raison d’une paix obtenue trop facilement, les fidèles sûrs de leur réconciliation ne se laissent aller plus encore à l’apostasie ; mais la pénitence leur était accordée pour ne pas tout leur refuser, et la dureté des temps rendait le pardon plus difficile.
Mais après que notre Seigneur eut rendu la paix à ses Eglises et que la terreur fut passée, l’on décida d’accorder la communion aux mourants – laquelle sera comme un viatique, grâce à la miséricorde divine, pour ceux qui vont trépasser, pour ne pas donner l’impression de suivre la dureté et la rigueur de l’hérétique Novatien qui niait la possibilité du pardon. On accordera donc la communion avec la pénitence in extremis : ainsi les hommes dont nous avons parlé, au moins à leurs derniers instants, et avec le consentement de notre Seigneur, seront défendus contre la damnation éternelle. »