Au moment où le pape François nous appelle à nous engager sur « la route de la conversion à l’écologie » à l’occasion de la « Journée mondiale pour la sauvegarde de la création », le professeur Lindzen, nous invite, lui, à faire un petit détour hérétique en vidéo pour faire le point sur ce qu’en pensent les universitaires.
Le pape François nous engage « sur la route de la conversion à l’écologie » à l’occasion de la « Journée mondiale pour la sauvegarde de la création », création qu’il nomme aussi « la maison commune ». Alors qu’il exhorte les fidèles (« ses » fidèles ?) à «la contemplation reconnaissante du monde », « la route de la conversion écologique » devient une « œuvre de miséricorde corporelle » qui demande les « gestes quotidiens simples » pour rompre « la logique de la violence, de l’exploitation, de l’égoïsme » et pour construire « un monde meilleur » (LS 230-231). (Source principale: Zénit)
« Un monde meilleur » ou bien le « meilleur des mondes » annoncé par Aldous Huxley?
« Le terme « maison commune » renvoie directement à l’encyclique – sociale – sur l’écologie humaine intégrale «Laudato si» (24 mai 2015) dont le titre annonce: « encyclique… sur la sauvegarde de la maison commune ». » (Source: Zénit)
D’avance je me confesse, ainsi que François m’y invite, de:
« ces péchés pas encore reconnus ni confessés dans le domaine de la préservation de l’environnement- « péchés envers la création, les pauvres et les générations futures ». (nous dit François.)
Comment aurais-je pu me confesser avant ? J’étais dans l’ignorance de ces péchés qu’heureusement en cette année bénie du XXIème siècle, le pape François vient enfin de nous révéler.
« Engageons-nous à accomplir des pas concrets sur la route de la conversion écologique, qui demande une claire prise de conscience de notre responsabilité à l’égard de nous-mêmes, du prochain, de la création et du Créateur » (cf. LS 10 ; 229). » (nous dit François.)
Le pape salue les « nombreuses initiatives » prises « pour sensibiliser encore plus l’opinion publique aux dangers de l’exploitation irresponsable de la planète ». Il se réjouit que ce mouvement rassemble « chrétiens et non-chrétiens, personnes de foi et de bonne volonté » pour « montrer de la miséricorde envers notre maison commune – la terre – et valoriser pleinement le monde dans lequel nous vivons comme lieu de partage et de communion ». Amen! (La suite sur Zénit).
En ces temps de gestation ecclésiale et religieuse pour déifier Gaïa, disais-je, il m’a semblé opportun d’apporter ma petite pierre à l’édifice de cette « maison commune » que j’habitais naïvement sans en connaître le chemin messianique. Je vous invite néanmoins à faire un bref détour de 5 minutes sur « la route de la conversion écologique» en empruntant le chemin buissonnier du changement climatique (couramment appelé « réchauffement »), avec le professeur Richard Lindzen, l’un des climatologues les plus réputés de la planète, qui fait le point sur ce qu’en pensent… les scientifiques.

Que François me pardonne cette transgression à « la conversion écologique ». Jusque-là je mettais tout mon cœur à rester fidèle à ma profession de foi catholique contenue dans le Credo, convaincue que mon salut résidait en Jésus-Christ et en sa seule Révélation.
L’homme est néfaste sur la terre
Dans cette courte vidéo de 5 minutes, fort claire, le professeur Lindzen classe les acteurs de l’écologie en trois groupes:
- un premier groupe de scientifiques qui travaillent en liaison avec l’ONU: le GIEC;
- un deuxième groupe de scientifiques appelés « sceptiques » sur la responsabilité de l’humanité dans le changement climatique parmi lesquels il se situe lui-même, et enfin
- un troisième groupe, composé de politiciens, d’environnementalistes et des médias.
Dans ce groupe 3, les politiciens sont animés par le pouvoir et l’argent, les environnementalistes sont poussés aussi par l’argent mais surtout par une idéologie religieuse dont le credo est: l’homme est néfaste à la planète terre, et enfin les médias sont poussés par l’argent, toujours l’argent, et la considération.
Ce qui pousse le groupe 3 à défendre passionnément le réchauffement de la planète est complètement déconnecté de la réalité scientifique connue, ainsi que le démontre le professeur Lindzen dans sa vidéo en détaillant le point-de-vue des groupes de scientifiques 1 et 2.
Le pape ne pourrait faire partie que de la troisième catégorie, puisqu’il n’est pas un scientifique mais un religieux comme les environnementalistes auxquels il emprunte l’essentiel de leurs théories… Le bûcher pour le professeur Lindzen, est sans doute déjà allumé sur la place Saint-Pierre …
Texte intégral du message de François
emiliedefresne@medias-presse.info
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Je ne vois pas en quoi protéger la création est une mauvaise chose. La pensée dominante actuelle néglige surement de nombreux points mais ne pas reconnaître que notre gestion de l’environnement peut s’avérer néfaste à long terme n’est pas une position responsable.
Par le biais de sa sainte écologie François veut nous faire accepter l’immigration, le poids du tiers-monde et le syncrétisme comme religion, c’est-à-dire la fusion de toutes les religions. Encore un tout petit effort et il prônera l’avortement comme les écolos, c’est ce qu’il fait indirectement. Il faut bien faire de la place et puis l’homme est néfaste sur terre, comme les animaux domestiques d’ailleurs.
Et bien sûr il fustige les catholiques qui depuis toujours sont en état de péchés contre les catastrophes et les éléments naturels. Il s’en prend surtout aux catholiques blancs, responsables de tout. En plus c’est un adepte du panthéisme, et il veut le répandre.
C’est démoniaque.
A l’évidence vous avez négligé de visionner la vidéo: le pape élabore sa théorie sur des chimères, tout comme les politiciens, les environnementalistes et les médias.
La vidéo est partie intégrante de l’article.
J’irai plus loin que M. Defresne: le RCAC (Réchauffement Climatique Anthropique Catastrophique) est la plus grande entreprise de bobardise crapuleuse jamais fricotée au nom de la science à travers les siècles… les lettrés pourront peut-être retrouver mes références littéraires…
Quoiqu’il en soit, le Bergoglio est dans le coup, ce qui n’est pas étonnant: à théologie vérolée, morale vérolée.
PS Mon compte WordPress étant interrompu pour une raison que j’ignore, je ne serai pas en mesure de suivre le fil, veuillez m’en excuser.
Et lorsque ce sont les éléments qui s’en prennent à notre planète Terre et à l’environnement, on fait quoi ? On demande à la tornade aux tremblements de terre de confesser leurs péchés ? Débile ce que raconte le pape.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/02/97001-20160902FILWWW00081-ouragan-en-floride-risque-d-inondations.php
Et à qui faut-il imputer le péché de tuer l’environnement si ce n’est effectivement à ceux qui adorent Mammon et non le vrai Dieu ? C’est à eux que le pape doit s’attaquer bille en tête, et non pas en biaisant comme il le fait. Là, il se révèle lâche (ou inculte ?…). Qui le conseille si mal ?? Certainement pas le Ciel…
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/02/97001-20160902FILWWW00172-manche-des-dauphins-contamines-par-les-pcb.php
« le péché de tuer l’environnement » ou « péché de tuer une chose ».Ce pape me fait vraiment peur. Le Vatican est plus « occupé », il est « possédé »!
ecrivons à nos évèques respectifs pour nous apostasier de cette église traitre entre DIEU ET NOUS IL N Y A PAS DE BARRIERES NOUS NAVONS PAS BESOIN DE PAPES NI DE CURES NI D EVEQUES j’ai toujours appris au catéchisme que Dieu est partout il entend tout il voit tout nos prières ils les entend nous n’avons pas besoin de son personnel encarté à je ne sais quel syndicat satanique
Vous dites n’importe quoi. Si vous aviez bien appris votre catéchisme vous devriez savoir que c’est NS Jésus-Christ qui a institué les évêques successeurs de ses apôtres et les prêtres, pour servir d’intermédiaires entre Lui et les baptisés, notamment pour célébrer son sacrifice non sanglant à la messe.
Le traitre est une figure de l’Evangile, c’est Juda, l’un des 12 apôtres, qui livre le Christ à ses bourreaux. Juda a beaucoup de succès de nos jours au plus haut sommet de l’Eglise comme en bas, ce n’est pas une raison pour remettre en question l’Evangile, ni pour douter de Jésus.