MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

A l’inverse du vent de panique qui agite le gouvernement et les médias français au sujet d’Omicron, le variant Omicron du coronavirus provoque une maladie plus bénigne que la souche Delta dans la plupart des Britanniques, concluent les scientifiques du gouvernement britannique. L’UK Health Security Agency doit publier ses premières données réelles sur la gravité de la maladie avant Noël auxquelles Politico a eu accès :  

« La meilleure nouvelle dans les premières données est que les Britanniques qui tombent malades avec Omicron sont moins susceptibles de devenir gravement malades que ceux qui ont attrapé Delta. Un plus grand nombre de personnes sont susceptibles d’avoir une maladie bénigne avec des symptômes moins graves, probablement en partie en raison du grand nombre de personnes vaccinées et précédemment infectées en Grande-Bretagne, et peut-être parce qu’Omicron peut être intrinsèquement plus doux. Le médecin-chef Chris Whitty a précédemment mis en garde contre un excès d’optimisme sur la base des premiers signes optimistes en provenance d’Afrique du Sud au cours des dernières semaines. Cependant, l’opinion de l’UKHSA après avoir étudié des cas en Grande-Bretagne est qu’Omicron est en effet généralement moins grave que Delta.

L’UKHSA a également confirmé que la transmissibilité d’Omicron est très élevée, ce qui signifie que même s’il est plus doux, les infections pourraient monter en flèche au point qu’un grand nombre se retrouvent toujours à l’hôpital. (…) Boris Johnson a déclaré mardi qu’il existait encore une « incertitude » sur la gravité exacte d’Omicron et son impact sur le taux d’hospitalisation. »

Parallèlement le directeur général de l’OMS confirme que ceux qui ont été vaccinés ont plus de chances de contracter le variant Omicron. Ce qui explique que « l’UKHSA devrait également conclure, écrit Politico, que si deux doses d’un vaccin ne suffisent pas pour offrir une protection solide, une dose de rappel réduit considérablement le risque d’infection symptomatique et de se retrouver à l’hôpital. »

Chacun tirera les conclusions qu’il veut de ces injections anti-covid nécessaires en continu…

Francesca de Villasmundo

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

2 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
Belette
Belette
il y a 4 années

« L’évêque peut déléguer des laïcs pour assister aux mariages». Et grâce au dispositif du cardinal Müller de 2017, les « tradis » de la FSSPX pourront même en profiter !

TD
TD
il y a 4 années

Réponse à Belette. Quand on voit que suite au concile diabolique Vatican II -Mgr Schneider et Mgr Vigano ont ouvert les yeux sur le caractère révolutionnaire de Vatican II- les modernistes qui ont tout détruit (doctrine, liturgie morale) en sont maintenant à vouloir ravaler l’Eglise au rang des sectes protestantes (la révolution doit aller toujours plus loin) on remercie Dieu de nous avoir donné la Fraternité St PIe X qui a été un canot de sauvetage dans le naufrage.
Sans Mgr Lefebvre et la Fraternité St Pie X la foi catholique et la vraie messe auraient totalement disparu.
Ne l’oublions jamais.

Lionel
Lionel
il y a 4 années

(14 mars 2005) Les femmes ne pourront jamais avoir accès au Sacerdoce, car ce n’est pas inscrit dans le dessein de Dieu. Même si un évêque procédait à une « ordination », ce ne serait pas valide, ce ne serait qu’un simulacre sacrilège et ce qui, à mon avis, revêtirait une extrême gravité, c’est qu’il y aurait un risque de rupture dans la « succession apostolique ». C’est cela qu’il faut craindre le plus.
De toute éternité, Dieu a choisi de s’incarner dans un homme par l’intermédiaire de la Vierge Marie Immaculée qui, plus que toute autre femme, aurait pu mériter d’être ordonnée prêtre. Le Sacrement de l’Ordre étant étroitement lié au Sacerdoce éternel du Christ Jésus mort sur la Croix pour nous sauver, chaque prêtre est l’icône du Christ, malgré ses défaillances, dans une relation totalement surnaturelle qui nous dépasse et que nous découvrirons, je pense, dans l’au-delà. De plus, comme je viens de l’évoquer, le Sacerdoce n’est pas dissociable du Sacrifice de la Croix perpétué dans le temps par le Saint Sacrifice Eucharistique et c’est un homme qui est mort sur la Croix, Jésus Christ, le prêtre par excellence et non pas une femme. Par conséquent, pour ceux qui, dans la mesure du possible, savent évaluer l’importance et la valeur du Sacerdoce éternel à la lumière de l’enseignement constant de l’Eglise et du témoignage des saints, il est impensable qu’une femme y ait accès et toute « ordination » serait, dans ce cas, invalide et sacrilège d’une façon certaine.
RAPPEL

On pourra toujours objecter que les protestants ont déjà procédé à « l’ordination » de femmes. Eh bien, ça n’a aucune importance, car ils ont depuis longtemps rompu la « succession apostolique » et leurs célébrations ne sont par conséquent que des simulacres de sacrements. Ils peuvent singer l’Église, mais leurs cérémonies n’ont aucune consistance, elles sont vides de la présence de Dieu et le fait de laisser croire, en connaissance de cause, que leur clergé est investi du Sacerdoce et peut donc agir en communion avec le clergé catholique ou orthodoxe qui lui n’a pas rompu la « succession apostolique », constitue un véritable péché.
« L’ordination » de femmes est tout simplement impossible, car ça n’a pas été prévu dès l’origine.

(24 juillet 2010 à 13h51) L’Église catholique vénère Notre-Dame comme le summum de la féminité, à la fois comme Mère et Vierge.
Pour une femme de demander le Sacerdoce suppose une dimension distincte de l’accomplissement de la féminité réalisé par Notre-Dame. Elle diminuerait Notre-Dame en tant que modèle de la femme parfaite et complète en introduisant un autre rôle pour les femmes auquel Elle ne participe pas.
L’avènement de femmes prêtres signifierait que Notre-Dame, en dépit de sa position en tant que Mère de Dieu et Vierge des vierges, ne représente plus le summum de la féminité. Ce serait un aveu qu’Elle fait défaut dans son accomplissement de ce rôle depuis qu’Elle a été privée d’un autre rôle qui est le Ministère Sacerdotal.
De toute évidence, pour les catholiques ce serait une situation intolérable. Notre-Dame est une créature parfaite de Dieu qu’Il a couronnée en tant que Reine du Ciel. Elle a reçu la faveur de Dieu et ne manque de rien. Le « ministère de la femme » serait en contradiction avec sa position et donc en contradiction avec les merveilles que Dieu a réalisées en Elle.

(14 mai 2016 à 0h14) Exactement. Il faut dire aussi qu’une femme ne peut pas être prêtre, parce que c’est Dieu qui choisit ses prêtres, et non l’inverse. Il faut y être appelé. Je ne vois pas pourquoi d’un seul coup Dieu appellerait des femmes alors qu’Il ne les a jamais appelées auparavant. Bref, c’est encore un mauvais coup de ce sale grappin.

Belette
Belette
il y a 4 années

Réponse à TD : Vous avez absolument raison de dire que si Mgr Lefebvre n’avait pas fondé la FSSPX, nous n’aurions pas aujourd’hui tous ces prêtres fidèles à la foi catholique (dans quelque communauté que ce soit), et toutes ces saintes messes célébrées avec esprit de foi. Mais je ne vois pas comment cela est censé répondre à mon propos, à savoir de mettre en garde les tradis endormis contre la soumission ou même contre une sympathie à l’égard d’une autorité moderniste (progressiste ou conservatrice) qui a désormais un tel pouvoir absurde de préférer à nos bons prêtres un diacre marié, une religieuse ou un laïc, pour leur accorder la licence de recevoir les consentements de nos mariages.
À la limite, ce que je vois, c’est que les prêtres traditionnels peuvent justement rester fidèles à l’enseignement de l’Église de toujours parce qu’ils ne sont pas soumis à la juridiction d’Ordinaires à la foi et la morale plus que douteuses donc dangereuses. Les dérives ou les difficultés des prêtres rejoignant les diocèses en vue de combattre l’esprit et la « foi » moderniste depuis l’intérieur est là pour le prouver : leur doctrine est très rapidement atteinte (combien se sont promis de ne jamais célébrer la messe dite « de Paul VI » et y ont réussi ?). Ainsi donc, « nullam partem » !
À moins que vous ne vouliez ainsi me dire : « soyez gentil, n’attisez pas un feu de discorde déjà si difficile à réprimer sur ce sujet » ? Mais où est le véritable danger, et donc la véritable charité qui l’indique ? Le danger est-il que l’on fasse bien la différence entre les combattants et les mondains, ou bien réside-t-il dans le fait de laisser notre foi s’endormir en frayant avec des libéraux ? Notre Seigneur n’a-t-il pas dit lui-même : « je suis venu porter, non la paix, mais le glaive » (Mat. X 34) ? Ainsi donc il est bien normal que la discorde existe, mais il n’est pas normal que les fils de Lumière fassent la paix avec les fils des Ténèbres.
Ne l’oublions jamais, non plus.

toto
toto
il y a 4 années

@belette23 juillet
Les ministres du sacrement de mariage étant les époux eux-mêmes, le prêtre n’est là que comme témoin qualifié. S’il n’y a pas de messe au cours de laquelle les époux se donnent le sacrement de mariage, nul besoin de prêtre quand les circonstances font qu’on ne peut pas en faire venir (guerres, confinement…). Vous dites bien à propos « assister » (comme témoin qualifié de l’Eglise)
Si des fiancés ne trouvent pas de prêtre dans le délai d’un mois pour agir en tant que témoin qualifié de l »Eglise, les époux peuvent se marier en présence de 2 témoins et faire enregister ensuite leur mariage-sacrement.
L’exemple du mariage est mal choisi pour illustrer le problème de l’ordination des femmes . Le problème c’est lorsque le prêtre est le ministre exclusif du sacrement. Aucune femme ne pourra jamais être ordonnée pour ces sacrements là.