Au cours du mois de juillet 2014, les affaires de pédophilie ont fortement secoué la Grande-Bretagne. Une vaste opération policière a notamment permis l’arrestation de 660 personnes impliquées dans des réseaux pédophiles.
 
Auparavant, en février 2014, une grande couverture médiatique fut consacrée au fait que trois hauts responsables politiques du parti travailliste (le Labour parti), Harriet Harman, son mari Jack Dromey et Patricia Hewitt, ont occupé des responsabilités dans le Conseil national pour les libertés civiles qui a soutenu pendant six ans le lobby Paedophilia Information Exchange (PIE).
Paedophilia Information Exchange (PIE) était une organisation fondée en 1974, issue du lobby homosexuel, et destinée à obtenir la légalisation de la pédophilie. Son président, Keith Hose, était également impliqué dans le Gay Liberation Front. En 1975, Keith Hose a tenu un long discours en faveur de la pédophilie au cours du congrès annuel de Campaign for Homosexual Equality (CHE).
 
Un sénateur hollandais, Edward Brongersma, participa à la première réunion publique de Paedophilia Information Exchange (PIE) le 1er septembre 1977.
 
A l’époque, ce lobby en faveur de la pédophilie a pu librement diffuser sa propagande nauséabonde au nom de la liberté d’expression. Militant pour la suppression de toute majorité sexuelle, Paedophilia Information Exchange (PIE) affirmait avec culot que “la vie des enfants, aussi bien que celle des pédophiles, est pervertie et traumatisée par les valeurs répressives de notre société”.
 
Grâce à ses bonnes relations avec des politiciens, le Paedophilia Information Exchange (PIE) a même reçu 70.000 £ de subventions du Home Office, le ministère de l’Intérieur britannique, entre l’année 1977 et l’année 1980. Oui, vous lisez bien, d’énormes sommes d’argent provenant du contribuable britannique ont été remises sous la forme de subventions à des pervers sexuels voulant abuser d’enfants. En valeur actuelle, ces subventions équivaudrait aujourd’hui à 400.000 euros !
 
Il faudra attendre 1984 pour que Paedophilia Information Exchange (PIE) soit dissous après la condamnation de plusieurs de ses membres dirigeants.
 
Parmi les membres de Paedophilia Information Exchange (PIE), on trouvait aussi bien des chômeurs que des diplomates. En 1978, une perquisition dans un appartement a permis de trouver des publications pédophiles. L’appartement en question était occupé sous un nom d’emprunt par Sir Peter Hayman, chef adjoint du MI6, comme le révèlera le député Geoffrey Dickens. Sir Peter Hayman fut emprisonné en 1984 et est décédé en 1992.
 

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