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L'église conciliaire, synodale et arc-en-ciel
L’église conciliaire, synodale et arc-en-ciel

La pression de la Gaystapo sur l’église conciliaire et synodale ne cesse de s’intensifier. Dans un diocèse italien, les ‘couples’ gay sont un modèle d’amour et de vie de famille.

L’Église conciliaire et synodale se fait le promoteur de la destruction de la famille traditionnelle

La destruction de la famille traditionnelle, l’acharnement à ‘réécrire’ la création divine, la promotion de la contre-nature, de toutes ces batailles anticatholiques, l’Église conciliaire et synodale s’en fait le promoteur. En laissant les diocèses faire leur expérience de ces nouveautés, aussi vieilles que Satan et sa haine de la loi divine et de l’œuvre de Dieu.

En Italie, le diocèse de Chiavari a décidé de considérer également les duos homosexuels comme modèles d’amour et de vie de famille. Dans une brochure qu’il a publiée, le ‘couple’ gay croyant, le ‘couple’ gay auquel l’un d’eux ne croit pas, le couple de personnes divorcées et civilement unies sont toutes des expériences d’amour et donc de famille. Comme ceux qui se sont mariés et sont restés fidèles à leur conjoint pendant des années.

La brochure arc-en-ciel s’appelle Il n’y a pas de plus grand amour et est éditée par le Service pastoral familial diocésain réalisé par Don Marco Torre, qui vise à « collecter des histoires d’amour de notre diocèse ». Oubliez les témoignages pour susciter le désir de sainteté entre les époux. Non, en fait, plus c’est « imparfait » mieux c’est. Mais ce que le diocèse appelle l’imperfection, c’est en réalité une vie qui contredit totalement l’enseignement de l’Église et de Jésus sur la morale, la famille et le mariage. C’est une vie de péché grave et public.

Une brochure arc-en-ciel publiée par le Service pastoral familial diocésain

Un quotidien italien, LNBQ, qui relate l’histoire, commente :

« Mais on sait que la dérive homo-hérétique a désormais trouvé un foyer stable dans les offices pastoraux des diocèses où des prêtres confus et idéologiquement orientés reçoivent carte blanche de leurs évêques pour renverser chimiquement l’ADN de la famille. Cette famille fondée sur le mariage qui, depuis l’époque de Jésus « c’est pour cette raison que l’homme s’unira à sa femme », est aujourd’hui beaucoup plus variée au nom de « tout est bon ». Tout cela n’est en fait qu’un fleuve d’amour ici et d’amour là-bas, dans un argument verbeux de Baci Perugina. Cela va même jusqu’à dire que « l’amour est quelque chose qui bouge, qui informe l’action et la façonne ». Et alors ? Mais surtout : quel amour ? »

La NBQ continue :

« Aux côtés d’histoires de véritables dons de conjoints qui s’aiment dans la maladie, par exemple, le livret nous montre également la vie de Marco et Michele, deux homosexuels qui vivent ensemble et parlent de combien c’est beau « vivre notre amour encore plus librement même au sein de notre communauté ».

Mais en plus de chanter à l’église et de faire partie du groupe “Amore in cammino”, l’espace qui leur est accordé a un but très précis. Le voici : « Le but ultime de notre travail, je crois, est de briser ces murs de division qui ont toujours entravé la participation active des personnes appartenant à la vaste sphère de l’homoaffectivité, à la vie de l’Église, sous l’amour du Père unique qui nous accueille dans la liberté de la façon dont il nous a créés. » Ce qui constitue déjà une violation flagrante de l’avertissement non seulement du Catéchisme… L’opération est donc celle classique que nous avons vue ailleurs aussi : l’Église est vieille et sur l’homosexualité, il faut la changer. »

Divorcés remariés, duos gays deviennent des modèles de familles

Vient ensuite l’histoire de Gianluca qui « arrive, analyse LNBQ, pour confirmer notre stratégie. Gianluca se présente seul et non en couple car son “partenaire” – qui n’est nommé qu’avec un générique “il” – « en ce qui concerne sa relation avec l’Église, il a toujours été très critique et distant ». Mais ce n’est pas un problème, Gianluca peut aussi être pris comme modèle par les paroisses environnantes en tant que bon chrétien : « Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette différence entre nous n’a jamais été un obstacle à notre relation, mais a été pour nous deux une raison pour une plus grande compréhension mutuelle, d’une plus grande profondeur ». Et en tout cas cette situation lui donne aussi le pouvoir de ressentir « en communion et en mouvement même avec mon Église, dans laquelle l’écoute, la reconnaissance et l’acceptation se vivent dans la réciprocité ».

La brochure expose aussi comme modèle, la vie des divorcés-remariés Alessandra et Luca, qui pour justifier leur parcours en couple dans « une nouvelle union » utilisent les mots de Amoris Laetitia au n° 297 : « Il s’agit d’intégrer chacun, nous devons aider chacun à trouver sa propre façon de participer à la communauté ecclésiale ». Les deux divorcés et civilement unis ne cachent même pas avoir violé « les règles de Dieu » pour mieux connaître son visage (!) sans abandonner « cet idéal d’amour qui a toujours été désiré ».

Pour l’instant l’évêque de Chiavari, Giampio Devasini, non seulement n’a rien dit mais laisse faire puisqu’il permet la publication de la brochure. D’ailleurs le diocèse est connu pour organiser une série d’initiatives LGBT au séminaire avec La Tenda di Gionata, La tente de Jonathan, l’association à l’initiative du ‘pèlerinage’ Lgbtqi+ à l’occasion du Jubilé.

Dans le même registre, LNBQ dévoile « qu’à Rapallo, qui se trouve dans le même diocèse ligure, selon la Vérité, on découvre qu’il existe une association appelée La Nassa qui est basé dans la paroisse de Sant’Anna et organise le Sextival, le festival de la santé sexuelle, qui dans déjà par son nom est tout un programme ».

Le livret destiné aux familles chrétiennes en sauce gay-friendly est destiné à rester et à ne pas être considéré comme un simple accident de voyage. « Après les veillées anti-homophobie, conclut LNBQ, l’étape suivante consiste à clarifier la pratique homoérotique comme étant pleinement ancrée dans le corpus de la famille naturelle et chrétienne. Avec la place des évêques ».

Ainsi va de trahisons en trahisons de la doctrine catholique, l’Église conciliaire et synodale.

Francesca de Villasmundo

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