Stop à l’immigration : : à l’appel de la campagne « Hissez les couleurs », les Anglais brandissent à nouveau la croix de Saint-Georges, et déclenchent de vastes manifestations contre l’immigration illégale.
Des manifestants anglais brandissent le drapeau de Saint-Georges pendant les manifestations
L’ancien drapeau de Saint Georges, symbole patriotique de l’Angleterre, est de retour sur les places de nombreuses villes britanniques, et dans les mairies dirigées par Reform UK, il a même été hissé sur les lampadaires. Parallèlement, des citoyens anglais l’arborent autour de leur cou.
Ce retour en force du drapeau de Saint Georges dans la société anglaise reflète le ras-le-bol de la politique du gouvernement travailliste dirigé par le Premier ministre Keir Starmer par un nombre toujours croissant de Britanniques, scandalisés par l’affaire des gangs de violeurs pakistanais occultée par les Travaillistes, et qui appellent, au cours d’importantes manifestations, à une répression contre l’immigration clandestine.
Opération Hissez les couleurs !
Le drapeau de Saint-Georges, une croix rouge sur fond blanc, représente un puissant symbole identitaire. Il fut adopté par les Croisés lors de leur campagne militaire en Terre Sainte au Moyen Âge. À l’époque moderne, la république maritime de Gênes accorda ce drapeau aux navires marchands anglais pour prévenir les attaques de pirates. Cet étendard devint finalement le drapeau national de la Grande-Bretagne au XIXe siècle, avant l’adoption de l’Union Jack, plus répandu. Saint Georges terrassant le dragon est également « saint patron et protecteur » de l’Angleterre.
Dans des vidéos publiées en ligne par des chaînes britanniques, on peut voir des gens déambuler dans les rues, le drapeau de Saint-Georges suspendu à côté du drapeau national. Une bannière imprégnée du courage de ceux qui ont combattu pour défendre le Saint-Sépulcre de Jérusalem contre l’invasion islamique et ottomane. Une référence historique puissante, cependant, qui déplaît aux progressistes du Guardian, qui la qualifient de symbole de « préjugés, et non d’orgueil ».
En réalité, selon le Daily Express, l’utilisation de cet ancien drapeau est née d’un mouvement patriotique en ligne qui a lancé une campagne intitulée « Hissez les couleurs ». L’opération « Hissez les couleurs » a appelé les citoyens à hisser leurs drapeaux là où ils vivent et dans leur quotidien pour rallier les Britanniques. Ce mouvement en ligne encourage les citoyens à continuer d’arborer les drapeaux anglais de la Croix de Saint-Georges et de l’Union Jack.
Les municipalités travaillistes et « anti-britanniques » retirent les drapeaux anglais
« Hissez les couleurs ! » a écrit Robert Jenrick, député du Parti Conservateur de Newark (Royaume-Uni) et Lord Chancelier du cabinet fantôme, sur X :
« Alors que les conseils municipaux anti-britanniques abaissent nos propres drapeaux, nous les levons. Nous devons être un seul pays, sous le drapeau de l’Union. »
Raise The Colours! 🇬🇧
While Britain-hating councils take down our own flags, we raise them up.
We must be one country, under the Union Flag. pic.twitter.com/fTXmEa3V3F
— Robert Jenrick (@RobertJenrick) August 21, 2025
Dans les villes tenues par une majorité municipale travailliste à forte dominante pakistanaise et musulmane telle Tower Hamlets et Birmingham les drapeaux anglais qui avaient été accrochés dans les rues par des partisans patriotiques du mouvement ont été retirés.
Nigel Farage, chef de file de Reform UK, a accusé les travaillistes de « haïr le drapeau national avec une ferveur qui les éloigne de la classe ouvrière anglaise »
Ces derniers jours, Nigel Farage, chef de file de Reform UK, a accusé de manière provocatrice les sociaux-démocrates, c’est-à-dire les travaillistes, de « haïr le drapeau national avec une ferveur qui les éloigne de la classe ouvrière anglaise ». Les douze conseils locaux contrôlés par le parti nationaliste ont annoncé qu’ils ne retireraient pas les drapeaux à croix rouge des lampadaires sur lesquels ils ont été installés. Un récent sondage YouGov montre d’ailleurs que Reform UK serait le plus grand parti si des élections avaient lieu aujourd’hui.
Même les passages piétons et les places de stationnement sont marqués d’un X rouge, en signe de protestation contre un gouvernement travailliste qui semble avoir oublié les besoins de la population au profit de l’immigration clandestine. La solidarité avec les citoyens britanniques vient également des États-Unis : Elon Musk, connu pour ses opinions conservatrices, a publié une image du drapeau de Saint-Georges sur X.
Francesca de Villasmundo
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